Article original de Denis G. Rancourt, publié en 2 juin 2020 sur le site Research Gate
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr


Les dernières données sur la mortalité toutes causes
confondues par semaine ne montrent pas une charge hivernale de mortalité
statistiquement plus importante que pour les hivers précédents. Il n’y a
pas eu de peste. Cependant, un « pic COVID » étroit est présent dans les données, pour plusieurs juridictions en Europe et aux États-Unis.
Ce « pic COVID » de mortalité, toutes causes confondues, présente des caractéristiques uniques :
- Sa netteté, avec une largeur à mi-hauteur maximale de seulement 4 semaines environ ;
- Son retard dans le cycle de la saison infectieuse, avec une
augmentation subite après la semaine 11 de 2020, ce qui est sans
précédent pour tout pic aigu ;
- La synchronisation du début de sa poussée, sur tous les
continents, immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS ;
et
- Son absence ou sa présence d’un état à l’autre des
États-Unis pour la même écologie virale sur le même territoire, étant
corrélée aux événements des maisons de retraite et aux actions du
gouvernement plutôt qu’à un quelconque discernement de la souche virale
connue.
Ces caractéristiques du « pic COVID », ainsi qu’un
examen de l’histoire épidémiologique et des connaissances pertinentes
sur les maladies respiratoires virales, m’amènent à postuler que le « pic COVID »
résulte d’un homicide de masse accéléré de personnes immunovulnérables
et de personnes rendues plus immunovulnérables par des actions
gouvernementales et institutionnelles, plutôt que d’être la signature
épidémiologique d’un nouveau virus, quel que soit le degré de nouveauté
du virus du point de vue de la spéciation virale.