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La croissance annuelle de la population en âge de travailler constitue la base organique de la croissance de la consommation nationale, régionale et mondiale.
Cependant, depuis la Seconde Guerre mondiale, la politique des taux d’intérêt a évolué à l’inverse de la croissance annuelle de la population en âge de travailler, pour inciter à s’endetter toujours plus alors que la croissance de la population en âge de travailler a ralenti pour devenir nulle.
Il est intéressant de noter que la variation annuelle totale de la consommation d’énergie a reflété la croissance annuelle de la population en âge de travailler, sauf dans les cas où la croissance synthétique a été temporairement remplacée pour maintenir l’apparence de la croissance comme la Chine.
À terme, la consommation et les prix des actifs, qui ont augmenté de manière inorganique, reviendront à leur niveau de base organique. Ce sera une nouvelle aube très rude pour ceux qui croyaient en une croissance infinie.
L’économie du 1er monde vit dans un système bancaire à réserves fractionnaires. Dans un tel système, la dette d’une personne est l’argent nouveau du système, car l’argent est prêté pour exister. À un rythme progressif depuis 1980, c’est la combinaison du ralentissement de la croissance de la population en âge de travailler, de la baisse des taux d’intérêt et de l’utilisation croissante de la dette privée qui a été à la base de l’augmentation de la consommation et de la création d’argent frais. Comme les emprunteurs ont contracté de nouveaux prêts avant 2008, ces emprunts ont été le principal levier de croissance monétaire. Cependant, l’évolution démographique depuis 2008 a tout changé, car la croissance démographique est passée des jeunes aux vieux… et les gouvernements fédéraux et les banques centrales ont pris en charge la création de monnaie par le biais de la monétisation, ce qui a entraîné une inflation des actifs.
- Les nouvelles dettes sont principalement contractées dans les pays du premier monde où les revenus et l’épargne sont plus élevés, mais où le crédit est également facilement accessible et les normes de ce crédit varient largement, selon le type d’actif (zéro pour les prêts étudiants, faible pour les véhicules, modéré à élevé pour les maisons… depuis 2007).
- C’est principalement la population en âge de travailler qui contracte de nouvelles dettes, tandis que les personnes ayant passées l’âge de travailler ont tendance à réduire leur endettement et à rembourser les prêts existants (ce qui a l’effet monétaire inverse en détruisant de l’argent).
- De 1950 à 2008, c’est la croissance nettement plus importante de la population en âge de travailler dans les pays développés par rapport à celle de la population ayant passées l’âge de travailler qui a soutenu l’apparition de nouvelles dettes, la création d’argent et la hausse des prix des actifs… Le renversement actuel et futur de ces proportions est la raison probable pour laquelle les gouvernements fédéraux et les banques centrales s’engagent dans des politiques de ZIRP, NIRP, QE et autres politiques activistes/expérimentales pour compenser l’effondrement de la masse monétaire dû à la démographie.
- La baisse de la population en âge de travailler dans les pays développés et le ralentissement de la croissance en Asie ne peuvent être compensés par une accélération de la croissance démographique en Afrique. L’inégalité mondiale et l’absence de richesse largement partagée signifient que l’Afrique n’a pas les revenus, l’épargne et/ou l’accès au crédit nécessaires pour répondre à une demande mondiale importante.
Ainsi, c’est la croissance de la population en âge de travailler dans le monde développé qui est essentielle pour la croissance de l’argent dans un système de réserves fractionnaires. Et la croissance de la population en âge de travailler doit être nettement supérieure à la croissance de la population retraitée qui a une aversion pour le crédit. La croissance de la population en âge de travailler en Asie (à l’exclusion de l’Asie de l’Est + Singapour) et/ou en Afrique a relativement peu d’impact car la grande majorité de ces pays ont relativement peu de revenus, d’épargne et/ou d’accès au crédit.
Je divise le monde en trois méga-régions : le monde développé, l’Asie, l’Afrique.
Elles se composent des éléments suivants et, à partir de 2020, dans les proportions suivantes…
Monde développé = Hémisphère occidental, Océanie, Europe de l’Est et de l’Ouest y compris la Russie), Asie de l’Est (Chine, Japon, Taïwan, Corée du Sud et du Nord + SINGAPOUR)
Cela représente 47% de la population mondiale en âge de travailler mais -4% de croissance annuelle de cette population
-
- D’ici 2030, le monde développé représentera -31% de croissance annuelle de la population mondiale en âge de travailler
- D’ici 2040, le monde développé représentera -19% de croissance annuelle de la population mondiale en âge de travailler
- Le 1er monde représente 74% de la consommation mondiale d’énergie
Asie = (Asie du Sud, Moyen-Orient, Asie centrale)
Ce bloc représente 39% de la population mondiale en âge de travailler mais 61% de croissance annuelle de cette population.
-
- D’ici 2030, l’Asie représentera 59 % de croissance annuelle de la population mondiale en âge de travailler
- D’ici 2040, l’Asie représentera 34 % de croissance annuelle de la population mondiale en âge de travailler
- L’Asie représente 22,5% de la consommation mondiale d’énergie
Afrique
Le dernier bloc représente 14% de la population mondiale en âge de travailler mais 42% de croissance annuelle de cette population.
-
- D’ici 2030, l’Afrique représentera 72 % de croissance annuelle de la population mondiale en âge de travailler
- D’ici 2040, l’Afrique représentera 85 % de croissance annuelle de la population mondiale en âge de travailler
- L’Afrique représente 3,5% de la consommation mondiale d’énergie
Démographie mondiale des gens en âge de travailler
Le graphique ci-dessous montre la croissance annuelle totale (en millions) de la population mondiale âgée de 20 à 60 ans. La croissance annuelle mondiale des adultes en âge de travailler a atteint son point culminant en 2007. Depuis lors, la croissance annuelle de la population en âge de travailler s’est ralentie et, d’ici 2030, elle sera inférieure à la moitié du pic de croissance annuelle. Ce qui reste de la croissance s’est déplacé vers les pays les plus pauvres et s’est transformé en véritable déclin parmi les nations relativement riches.
- La croissance annuelle du nombre de personnes en âge de travailler dans le premier monde a cessé à partir de 2020, et maintenant, des baisses de plus en plus importantes seront un phénomène séculaire indéfiniment.
- La croissance annuelle de l’Asie est en train de ralentir et continuera à le faire indéfiniment.
- La croissance annuelle en Afrique s’accélère et le fera jusqu’au milieu du siècle.
Le deuxième graphique présente la localisation géographique de la croissance annuelle de la population totale âgée de 20 à 60 ans. C’est tellement important, parce qu’une fois de plus, ce sont les revenus, l’épargne et l’accès au crédit bien plus élevés de la population du 1er monde en âge de travailler qui sont à l’origine de la consommation, de l’endettement et de la création d’argent qui en résulte (par le biais des réserves fractionnaires).
Notez que la majorité de la croissance de la population en âge de travailler s’est faite dans le 1er monde jusqu’en 1995 et que la croissance du 1er monde est restée une caractéristique forte jusqu’en 2008. À partir de 2008, le déclin inévitable de la population en âge de travailler dans le monde (compte tenu des décennies précédentes de baisse des naissances et des taux de fécondité… voir les graphiques à la fin de l’article), a entraîné l’effondrement d’une partie de la croissance de la population en âge de travailler dans le monde. Et comme le montre le graphique ci-dessous, ce déclin du premier monde est sur le point de s’accentuer. Notez que la part de la croissance en Asie atteindra bientôt son maximum et commencera à décélérer rapidement. Il reste donc une partie de la croissance de la population en âge de travailler en Afrique. C’est d’autant plus important que la croissance de la population en âge de travailler en Afrique ce fait parmi les populations ayant le moins de revenus au monde (moins d’un dixième de celle du premier monde), que l’épargne est minimale et que l’accès au crédit est faible, voire inexistant. Cette croissance de la population africaine en âge de travailler revient à multiplier un grand nombre de personnes par une fraction minuscule [de la richesse, NdT]. Il y a peu de capacité monétaire pour la consommation ou la demande induite par le crédit… il n’y a pas non plus de multiplicateur monétaire.
Impact de la démographie en âge de travailler sur la consommation d’énergie
Ensuite, j’utilise la consommation totale d’énergie comme le meilleur indicateur de la capacité et de la demande économiques réelles. Le graphique ci-dessous répartit à nouveau la consommation mondiale d’énergie entre le 1er monde, l’Asie et l’Afrique (la consommation d’énergie primaire est égale à la totalité du pétrole, du gaz naturel, du charbon, du nucléaire et des énergies renouvelables consommés dans chaque région). Ce qui devrait être parfaitement clair, c’est que le 1er monde consomme de l’énergie bien au-delà de sa part en tant que population, l’Asie augmentant sa part mais toujours bien en dessous de celle du 1er monde. Il convient également de noter la consommation minimale d’énergie soutenue de l’Afrique.
Ensuite, il s’agit d’examiner la consommation d’énergie en pourcentage de la consommation totale par région. A noter le pourcentage de croissance de la consommation en Asie, la décélération inverse de la consommation d’énergie du 1er monde, et la quasi inexistence de l’Afrique en tant que consommateur mondial d’énergie. L’Afrique n’a toujours consommé que 2 à 4 % et ne montre aucun signe d’augmentation imminente.
Il est clair que le 1er monde plus l’Asie font presque toute la consommation (96,5% de la consommation mondiale… c’est vrai pour l’énergie, pour les exportations, etc.) et ces tendances ne montrent aucun signe imminent de changement et en fait il semble qu’avec la décélération qui a lieu dans le 1er monde, l’Afrique décélère avec eux (détails à la fin de l’article). Les répercussions de la pandémie potentielle actuelle ne feront qu’exagérer les ralentissements et les reculs déjà acquis.
La démographie mondiale des personnes âgées
Mais qu’en est-il du désendettement des personnes âgées ?
Le graphique suivant se concentre sur la ventilation de la croissance annuelle de la population mondiale des 60 ans et plus. En 2020, la part des personnes âgées (60 ans et plus) dans le monde est fortement biaisée vers le 1er monde dans les proportions suivantes :
- 1er monde ; 65 % des plus de 60 ans, 57 % de la croissance annuelle des personnes âgées
- Asie ; 28% des plus de 60 ans, 35% de leur croissance annuelle
- Afrique ; 7% des plus de 60 ans, 8% de leur croissance annuelle
La croissance annuelle des plus de 60 ans culminera en 2030 et commencera à décélérer par la suite, la croissance annuelle sur ce segment se déplaçant du premier monde vers l’Asie et l’Afrique.
Ci-dessous, la répartition par région de la croissance toujours en hausse chez les 60 ans et plus. Actuellement, la croissance tend vers l’Asie et s’éloigne du premier monde… Cependant, après 2030, la part de la croissance en Afrique devrait commencer à augmenter et la croissance du premier monde devrait décélérer de manière significative.
Donc, d’ici 2030…
- La croissance de la population mondiale en âge de travailler va ralentir de 45%.
- La croissance de la population mondiale en âge de travailler va se déplacer presque entièrement vers l’Afrique, se ralentir en Asie et continuer à décliner dans le 1er monde
- La croissance mondiale du nombre de personnes âgées va continuer à augmenter, en particulier dans le premier monde et en Asie. L’impact sur l’utilisation du crédit/de la dette et sur la consommation de la population en âge de travailler du premier monde, en déclin, devrait être sévèrement négatif, avec peu ou pas de chance pour la croissance en Afrique de surmonter l’effondrement de la demande du premier monde. Cette situation crée une boucle de rétroaction négative pour les biens immobiliers tels que les maisons, l’immobilier commercial, les biens de consommation (voitures, téléphones, appareils électroménagers, etc.) et les usines et chaînes d’approvisionnement qui les soutiennent. Un déclin mondial de la consommation réelle est très probable, car ces tendances démographiques se manifestent et la dépression économique séculaire sera la principale caractéristique pendant des décennies.
C’est le chant des sirènes des banques centrales pour créer artificiellement de l’inflation par la monétisation plutôt que par l’augmentation de la demande. La hausse actuelle des prix des actifs via la monétisation et le détournement de la politique des taux d’intérêt ne fait qu’aggraver l’éventuel entraînement et rééquilibrage du système.
Ventilation par région
1er Monde
Le graphique ci-dessous présente les naissances annuelles (colonnes noires), la population féminine de 20 à 40 ans en âge de procréer (ligne jaune) et la population féminine post-féconde (ligne rouge).
La population féminine du 1er monde en âge de procréer a atteint un sommet en 2009 et n’a cessé de décliner depuis. La diminution du nombre de femmes dans le 1er monde (y compris les femmes immigrées), associée à des taux de fécondité en baisse et bien en dessous du taux de remplacement, signifie que les naissances dans le monde continuent de décliner depuis plus de cinq décennies. Toutefois, avec le déclin plus rapide des femmes en âge de procréer, il semble y avoir une accélération de la baisse des naissances en cours, qui se chiffre en millions de personnes en dessous de la variance moyenne prévue par l’ONU pour 2018 / 2019.
L’année 2020 est la première année où l’âge de la population active de 20 à 60 ans diminue dans le premier monde (colonnes bleues) et où la croissance du nombre de personnes âgées de plus de 60 ans atteint un léger creux. De plus, il est difficile de ne pas voir le bord de la falaise démographique qu’était 2008 et la chute libre de la croissance annuelle depuis.
Jusqu’en 2017, le premier monde consommait 437 quadrillions de BTU, soit 75 % de l’énergie mondiale (ligne bleue), mais l’association évidente des changements d’une année sur l’autre (colonnes rouges) avec les accélérations/décélérations économiques est évidente. Les données sur la consommation d’énergie montrent sans équivoque que nous étions ou sommes dans une période de ralentissement de la croissance ou de déclin total.
Ci-dessous, y compris les projections de croissance de la consommation d’énergie de l’EIA de 2018 à 2040. Alors que la population du 1er monde en âge de travailler et les femmes en âge de procréer diminuent et que les naissances s’effondrent (sans parler de l’adoption en cours de technologies d’économie d’énergie et de conservation de l’énergie), la consommation d’énergie du 1er monde devrait continuer à augmenter à près des deux tiers du rythme moyen qu’elle a connu depuis 1980. Le premier monde devrait représenter environ 44 % de la croissance mondiale de la consommation d’énergie jusqu’en 2040.
Et en ajoutant la consommation totale d’énergie du 1er monde plus les changements d’une année sur l’autre de la consommation d’énergie par rapport aux changements d’une année sur l’autre chez les 20 à 60 ans résidents du 1er monde. Là encore, le déclin de la population par rapport aux prévisions de croissance de la consommation d’énergie n’a aucun sens. Les données actuelles et projetées de l’EIA présentent des divergences, il vaut mieux se concentrer sur les changements annuels projetés de la consommation d’énergie.
Asie (à l’exclusion de l’Asie de l’Est)
L’accélération du rythme des naissances annuelles en Asie a pris fin en 1986. Alors que les naissances en Asie ont atteint un sommet en 2009, elles sont restées essentiellement inchangées depuis près de trois décennies et demie. De même, la croissance du nombre des femmes asiatiques en âge de procréer (ligne jaune) a ralenti et, à partir de 2020, la population des femmes infertiles a dépassé celle des femmes en âge de procréer. Ces deux tendances s’accéléreront au cours des prochaines décennies. Avec une population féminine en âge de procréer qui se stabilise et des taux de fertilité bientôt négatifs en Asie, le résultat probable est une décélération plus importante des naissances annuelles que celle prévue ci-dessous.
Il est difficile de ne pas remarquer le ralentissement de la croissance annuelle de la population asiatique en âge de travailler (colonnes bleues, ci-dessous) par rapport à l’accélération de la croissance du nombre des Asiatiques ayant dépassé l’âge de travailler (colonnes rouges).
L’Asie (à l’exclusion de l’Asie de l’Est) consomme 21,6 % de l’énergie mondiale comme en 2018. Il est intéressant de noter que les baisses de la consommation d’énergie en Asie lors des premiers ralentissements économiques mondiaux ne sont pas aussi importantes que celles observées en Asie de l’Est et/ou en Afrique.
Ci-dessous, les projections de consommation d’énergie de l’EIA de 2018 à 2040. Alors que la croissance annuelle de la population asiatique en âge de travailler continue à ralentir et que les naissances annuelles en Asie sont en baisse, la consommation d’énergie devrait continuer à s’accélérer en Asie pour atteindre près du double du rythme moyen d’augmentation de la consommation d’énergie entre 1980 et 2017. L’Asie devrait représenter environ 47 % de la croissance de la consommation mondiale d’énergie jusqu’en 2040.
Et en ajoutant la consommation totale d’énergie en Asie et les changements d’une année sur l’autre de la consommation d’énergie par rapport aux changements d’une année sur l’autre chez les Asiatiques de 20 à 60 ans. La décélération de la croissance par rapport aux prévisions d’accélération de la consommation d’énergie est illogique.
Afrique
Le nombre des naissances, des femmes en âge de procréer et des femmes devenues infertiles augmentent rapidement, bien que celui des naissances décélèrent.
La croissance annuelle de la population africaine en âge de travailler augmente rapidement, mais elle ralentira dans les années 2030 avant d’atteindre un pic de croissance annuelle vers 2050. La croissance annuelle des plus de 60 ans est beaucoup plus lente que celle des autres régions, mais elle commence à s’accélérer.
L’Afrique consomme 3,4 % de l’énergie mondiale. Toutefois, d’après la consommation d’énergie, l’Afrique est beaucoup plus dépendante de la demande des pays industrialisés et beaucoup plus touchée par les ralentissements de ces pays que l’Asie. Cela semble impliquer que le premier déclin mondial de la demande et le ralentissement de la croissance asiatique auront des répercussions négatives considérables en Afrique. Cela semble indiquer que l’Afrique souffrira plus que toute autre région lors de la prochaine récession et que sa démographie positive ne lui sera pas favorable. De même, la croissance démographique de l’Afrique, principalement en Afrique subsaharienne, a relativement peu accès à l’émigration en raison de l’extrême pauvreté associée aux barrières géographiques du désert du Sahara au Nord et des océans tout autour.
Ci-dessous, les projections de consommation d’énergie de l’EIA de 2018 à 2040. Alors que la population et la demande mondiales diminuent et que la croissance de l’Asie ralentit… La consommation d’énergie de l’Afrique devrait augmenter de 250 % par rapport au rythme de 1980 à 2017. Cela ne semble pas crédible et c’est probablement tout à fait l’opposé avec ralentissement de la croissance de la consommation qui risque de se produire. L’Afrique devrait représenter 9 % de la croissance de la consommation mondiale d’énergie primaire jusqu’en 2040.
Et en ajoutant la consommation totale d’énergie en Afrique, plus les changements d’une année sur l’autre de la consommation d’énergie par rapport aux changements d’une année sur l’autre chez les Africains de 20 à 60 ans, on obtient :
Conclusion
Il est assez facile de suggérer ce qui ne se passera pas à l’avenir et ce qui se passera à la place. La croissance démographique, en particulier parmi les populations d’âge actif du 1er monde et d’Asie, va diminuer / décélérer (respectivement) et la baisse probable des naissances sera plus importante que prévu ci-dessus. La consommation d’énergie augmentera presque certainement beaucoup moins que prévu, avec un potentiel de déclin assez important. Les banques centrales et les gouvernements fédéraux continueront à intervenir progressivement pour soutenir artificiellement la demande et la valorisation des actifs dans un contexte d’affaiblissement perpétuel de l’architecture. Plus la demande organique sera faible, plus les taux d’intérêt baisseront et les prix des actifs augmenteront. Les principes fondamentaux et les normes historiques seront progressivement moins fiables à mesure qu’une politisation centralisée de l’économie, de la monnaie et du système financier continuera à supplanter le capitalisme de libre marché.
Ce qui n’est pas facile à dire, c’est combien de temps cet étayage va durer avant une rupture prévisible, à quoi elle ressemblera et ce qui se passera après que le système actuel se soit effondré.
Toutes les données sur la population sont tirées du rapport des Nations unies « World Population Prospects 2019 » ; les données sur l’énergie proviennent des données de l’EIA sur la consommation d’énergie primaire (US Energy Information Administration) et de l’EIA International Energy Outlook 2019 (projections de la consommation d’énergie future).
Données supplémentaires, par nation
Asie de l’Est
Chine : 15 500 milliards de dollars de PIB, 1,4 milliard de personnes (18,5 %), consomme 24 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant
passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Ci-dessous, la consommation totale d’énergie (ligne noire), la
consommation prévue (ligne pointillée), l’évolution de la consommation
d’une année sur l’autre (colonnes rouges) et l’évolution de la
population de 20 à 60 ans d’une année sur l’autre (colonnes vertes).
Japon : 5 500 milliards de dollars de PIB, 126 millions de personnes (1,6 %), consomme 3,3 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Ci-dessous, la consommation totale d’énergie (ligne noire), la consommation prévue (ligne pointillée), l’évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonnes rouges) et l’évolution de la population de 20 à 60 ans d’une année sur l’autre (colonnes vertes).
Corée du Sud : 1 750 milliards de dollars de PIB, 51 millions de personnes (0,7 %), consomme 2,1 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Ci-dessous, la consommation totale d’énergie (ligne noire), la consommation prévue (ligne pointillée), l’évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonnes rouges) et l’évolution de la population de 20 à 60 ans d’une année sur l’autre (colonnes vertes).
Taïwan : 650 milliards de dollars de PIB, 24 millions de personnes (0,3 %), consomme 0,8 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Europe
Allemagne : 4 100 milliards de dollars de PIB, 84 millions de personnes (1,1 %), consomme 2,4 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge). Graphique ci-dessous de la réunification de 1991 à 2017.
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Royaume-Uni : 2 900 milliards de dollars de PIB, 68 millions de personnes (0,9 %), consomme 1,4 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
France : 2 800 milliards de dollars de PIB, 65 millions de personnes (0,8 %), consomme 1,8 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Italie : 2 100 milliards de dollars de PIB, 60 millions de personnes (0,8 %), consomme 1,2 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Espagne : 1 500 milliards de dollars de PIB, 47 millions de personnes (0,6 %), consomme 1 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Pays-Bas : 950 milliards de dollars de PIB, 17 millions de personnes (0,2 %), consomme 0,7 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Suisse : 750 milliards de dollars de PIB, 9 millions de personnes (0,1 %), consomme 0,2 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Suède : 575 milliards de dollars de PIB, 10 millions de personnes (0,1 %), consomme 0,4 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Belgique : 550 milliards de dollars de PIB, 12 millions de personnes (0,15 %), consomme 0,5 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population en âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale allemande
Autriche : 500 milliards de dollars de PIB, 9 millions de personnes (0,1 %), consomme 0,26 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population en âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale allemande
Grèce : 225 milliards de dollars de PIB, 10 millions de personnes (0,1 %), consomme 0,2 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Europe de l’Est
Russie : 1 700 milliards de dollars de PIB, 146 millions de personnes (1,9 %), consomme 5,6 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Ci-dessous, la consommation totale d’énergie (ligne noire), la consommation prévue (ligne pointillée), l’évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonnes rouges) et l’évolution de la population de 20 à 60 ans d’une année sur l’autre (colonnes vertes).
Pologne : 650 milliards de dollars de PIB, 38 millions de personnes (0,5%), consomme 0,7% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Amérique du Nord
Canada : 1 800 milliards de dollars de PIB, 38 millions de personnes (0,5 %), consomme 2,6 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
États-Unis d’Amérique : 22 000 milliards de dollars de PIB, 330 millions de personnes (4,3 %), consomme 17 % de l’énergie mondiale
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Ci-dessous, la consommation totale d’énergie (ligne noire), la consommation prévue (ligne pointillée), l’évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonnes rouges) et l’évolution de la population de 20 à 60 ans d’une année sur l’autre (colonnes vertes).
Océanie
Australie : 1 500 milliards de dollars de PIB, 26 millions de personnes (0,3%), consomme 1,1%…
Nouvelle-Zélande : 225 milliards de dollars de PIB, 5 millions de personnes (0,06%), consomme 0,2% de l’énergie mondiale
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Amérique latine
Brésil : 2 100 milliards de dollars de PIB, 213 millions de personnes (2,7%), consomme 2,2% de l’énergie mondiale
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Ci-dessous, la consommation totale d’énergie (ligne noire), la consommation prévue (ligne pointillée), l’évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonnes rouges) et l’évolution de la population de 20 à 60 ans d’une année sur l’autre (colonnes vertes).
Mexique : 1 300 milliards de dollars de PIB, 129 millions de personnes (1,65 %), consomme 1,4 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Argentine : 500 milliards de dollars de PIB, 45 millions de personnes (0,6 %), consomme 0,7 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Colombie : 350 milliards de dollars de PIB, 51 millions de personnes (0,65 %), consomme 0,3 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Chili : 315 milliards de dollars de PIB, 19 millions de personnes (0,25 %), consomme 0,26 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Pérou : 240 milliards de dollars de PIB, 33 millions de personnes (0,4%), consomme 0,2% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant
passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Équateur : 110 milliards de dollars de PIB, 18 millions de personnes (0,23%), consomme 0,12% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Venezuela : 70 milliards de dollars de PIB, 28 millions de personnes (0,36%), consomme 0,4% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
République dominicaine : 90 milliards de dollars de PIB, 11 millions de personnes (0,14 %), consomme 0,06 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Guatemala : 85 milliards de dollars de PIB, 18 millions de personnes (0,23%), consomme 0,05% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Asie du Sud
Inde : 3 300 milliards de dollars de PIB, 1,38 milliard de personnes (17,7%), consomme 5,2% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Ci-dessous, la consommation totale d’énergie (ligne noire), la consommation prévue (ligne pointillée), l’évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonnes rouges) et l’évolution de la population de 20 à 60 ans d’une année sur l’autre (colonnes vertes).
Indonésie : 1 200 milliards de dollars de PIB, 274 millions de personnes (3,5%), consomme 1,2% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Turquie : 810 milliards de dollars de PIB, 84 millions de personnes (1,1%), consomme 1,1% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Arabie Saoudite : 790 milliards de dollars de PIB, 35 millions de personnes (0,45 %), consomme 1,9 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Iran : 500 milliards de dollars de PIB, 84 millions de personnes (1,1%), consomme 2% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Thaïlande : 550 milliards de dollars de PIB, 70 millions de personnes (0,9 %), consomme 0,9 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Pakistan : 350 milliards de dollars de PIB, 221 millions de personnes (2,8%), consomme 0,55% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Malaisie : 400 milliards de dollars de PIB, 32 millions de personnes (0,4%), consomme 0,6% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Philippines : 390 milliards de dollars de PIB, 110 millions de personnes (1,4 %), consomme 0,3 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Vietnam : 280 milliards de dollars de PIB, 97 millions de personnes (1,25%), consomme 0,6% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Bangladesh : 250 milliards de dollars de PIB, 165 millions de personnes (2,1%), consomme 0,25% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), variation de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge),
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile,
Variation annuelle, population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Afrique
Nigeria : Avec un PIB de 500 milliards de dollars, 206 millions de personnes (2,65 %), consomme 0,26 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Afrique du Sud : 390 milliards de dollars de PIB, 59 millions de personnes (0,75%), consomme 1% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Égypte : 330 milliards de dollars de PIB, 102 millions de personnes (1,3 %), consomme 0,7 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Algérie : 190 milliards de dollars de PIB, 44 millions de personnes (0,55 %), consomme 0,4 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Maroc : 130 milliards de dollars de PIB, 37 millions de personnes (0,5%), consomme 1,4% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Angola : 95 milliards de dollars de PIB, 33 millions de personnes (0,4%), consomme 0,06% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Ghana : 70 milliards de dollars de PIB, 31 millions de personnes (0,4%), consomme 0,045% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Libye : 50 milliards de dollars de PIB, 7 millions de personnes (0,09%), consomme 0,1% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Variation annuelle ; Population en âge de travailler, Population ayant passé l’âge de travailler, Taux d’intérêt de la Banque Centrale
Kenya : 110 milliards de dollars de PIB, 54 millions de personnes (0,7 %), consomme 0,06 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Éthiopie : 100 milliards de dollars de PIB, 115 millions de personnes (1,5 %), consomme 0,06 % de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Tanzanie : 65 milliards de dollars de PIB, 60 millions de personnes (0,8%), consomme 0,05% de l’énergie mondiale.
Consommation totale d’énergie (ligne bleue), évolution de la consommation d’une année sur l’autre (colonne rouge).
Naissances annuelles, population féminine fertile, population féminine infertile
Chris Hamilton
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