vendredi 9 octobre 2020

COVID 19 – Épidémie de fraude 1/2

Article original de Iain , publié le 25 Août 2020 sur le site In This Together
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr

Parmi les nombreux États mondialistes similaires, l’État britannique est un partenariat public-privé entre le gouvernement, les institutions financières, les sociétés multinationales, les groupes de réflexion mondiaux et les organisations du troisième secteur bien financées, telles que les organisations non gouvernementales (ONG) et les grandes organisations caritatives internationales. Grâce à une structure labyrinthique de financement direct, d’octroi de subventions et de philanthropie, l’État britannique est une organisation mondialiste cohésive qui travaille avec des universitaires, des institutions scientifiques et des médias grand public (MSM) sélectionnés pour faire avancer un récit prédéterminé et étroitement contrôlé. Ce consensus conçu sert les intérêts et les ambitions mondiales d’un petit groupe de personnes démesurément riches.

 

Les MSM, une seule et même machine de propagande cohésive

Ce groupe de parasites, souvent appelé à tort « l’élite », exploite l’humanité entière pour son propre profit et pour consolider et accroître son pouvoir. Ils contrôlent la masse monétaire et la dette mondiale, qui est une dette envers eux. Les êtres humains sont contraints de payer des impôts qui, par le truchement du gouvernement, sont versés directement aux sociétés privées qu’ils possèdent. La guerre, la sécurité, les projets d’infrastructure, l’éducation et les soins de santé génèrent des profits et sont utilisés par la classe parasite pour manipuler la société.

Globalement, ils financent tous les partis politiques, avec toute chance réaliste de gagner le pouvoir. Ils possèdent aussi les MSM et dépensent des milliards pour faire pression sur les décideurs politiques. Par le biais de groupes de réflexion et des actions de militants politiques « indépendants », tels que le réseau FPAction, ils financent directement les campagnes politiques en échange de la loyauté de l’homme politique envers eux, et non envers l’électorat. Par le biais de leurs fondations subventionnaires exonérées d’impôts, telles que la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF), ils contrôlent l’orthodoxie scientifique, médicale et académique.

Ce réseau mondial d’oligarques en est aux dernières étapes de son plan de longue date visant à construire un système de gouvernance mondial unique. Souvent appelé « Nouvel ordre mondial«  (NOM), il s’agit d’une collaboration entre des organisations politiques supranationales, comme les Nations unies et l’Union européenne, des autorités scientifiques contrôlées, comme le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), des institutions financières mondiales, dont la Banque mondiale, le FMI, la BCE et la Banque des règlements internationaux (BRI), des organisations mondialistes comme le Forum économique mondial (WEF), des ONG comme le Fonds mondial pour la nature (WWF) et des groupes de réflexion sur l’élaboration des politiques comme le Council on Foreign Relations (CFR), le Club de Rome et la Commission trilatérale.

L’État britannique est l’un des tentacules les plus importants du système de gouvernance mondiale qui se met en place. Il a profité de la crise de la COVID 19 pour créer les conditions d’un nouveau modèle économique et politique mondial. Alors que la COVID 19 semble être une souche maléfique du coronavirus commun, nous verrons dans la deuxième partie comment l’État britannique a inventé un faux discours sur la maladie pour servir les intérêts de ses maîtres mondialistes et oligarques. La gestion d’une réponse à une pandémie n’est qu’une justification trompeuse de la restructuration planifiée de la société.

Fondation B&M Gates. Sauver le monde un vaccin à la fois.

En partenariat avec le Johns Hopkins Center for Health Security et le BMGF, le WEF a été le principal architecte de l’Event 201 qui a planifié, de manière très précise, le confinement mondial et la réponse médiatique du monde à une pandémie mondiale de coronavirus. L’Event 201 a été mis en place quelques mois seulement avant qu’une pandémie mondiale de coronavirus n’éclate. Tant le confinement gouvernemental que la réponse des MSM se sont déroulés exactement comme ils l’avaient prévu.

Dire que tout cela n’est qu’une coïncidence et ne mérite pas d’être examiné plus en détail, est plus qu’obtus. La plate-forme d’action pour gérer la COVID 19, vaste et détaillée, du WEF a été mise en place et a fonctionné à partir du 12 mars 2020, le lendemain de la déclaration par l’OMS d’une pandémie mondiale de la COVID 19.

Il est clair, selon les propres termes du WEF, qu’ils considèrent la COVID 19 comme une fantastique opportunité. Ils déclarent :

La crise de la Covid-19, et les bouleversements politiques, économiques et sociaux qu’elle a provoqués, modifient fondamentalement le contexte traditionnel de la prise de décision … Alors que nous entrons dans une fenêtre d’opportunité unique pour façonner la reprise, cette initiative offrira des perspectives pour aider à informer tous ceux qui déterminent l’état futur des relations mondiales, l’orientation des économies nationales, les priorités des sociétés, la nature des modèles commerciaux et la gestion d’un bien commun mondial.

Il s’agit d’une proposition de gouvernance mondiale qui supplante la souveraineté nationale. C’est aussi simple que cela.

Il est remarquable qu’il y ait encore tant de gens qui accusent tous ceux qui font référence à ce plan de longue date pour un nouvel ordre mondial, largement documenté et dont les dirigeants politiques parlent depuis des générations, d’être des soi-disant théoriciens du complot. On peut se demander si ces personnes savent lire.

Faisant référence aux possibilités autour de la gestion de cette COVID 19, l’un des fondateurs et actuel président exécutif du WEF, Klaus Schwab, a récemment écrit :

Un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n’est pas inévitable. Pour obtenir un meilleur résultat, le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Tous les pays, des États-Unis à la Chine, doivent participer et toutes les industries, du pétrole et du gaz à la technologie, doivent être transformées. En bref, nous avons besoin d’un « Grand Reset du capitalisme ».

Le capitalisme a besoin d’une réinitialisation parce que le modèle du capitalisme de copinage en circuit fermé, géré par la classe parasitaire mondiale depuis des siècles, a atteint les limites de la croissance. Il doit donc créer un nouveau paradigme économique (le « Grand Reset« ) à la fois pour centraliser et consolider davantage son pouvoir et pour réparer son modèle économique défaillant.

Après l’effondrement des banques en 2008, alors que le peuple a été contraint à l’austérité pour renflouer les banques avec une forme de socialisme de copinage très sélectif, la classe parasite a simplement continué à accumuler de la dette. Dans les Accords de Bâle III sur les fonds propres, censés mettre un terme aux spéculations sauvages des banques qui ont causé l’effondrement, ils ont dans les faits réduit les exigences de liquidité (réserve de capital) pour les banques, leur permettant de prêter encore plus.

Ce processus permettant aux banques de créer la monnaie fiduciaire à partir de rien a inévitablement conduit à une dette mondiale d’environ 260 000 milliards de dollars, soit plus de trois fois la taille du PIB de la planète. Cependant, c’est peu par rapport à l’ampleur du marché des produits financiers dérivés. On estime qu’il se situe entre 600 000 milliards de dollars et plus d’un quadrillion de dollars. Si certains disent que ce n’est que le montant notionnel de la dette liée aux contrats de produits dérivés, il n’en reste pas moins que tout cela n’est que de la dette.

Cumulativement, la productivité sur Terre n’est même pas suffisante pour assurer le service des intérêts de ces dettes, sans parler de leur paiement. En fin de compte, il s’agit d’une dette envers les oligarques qui contrôlent le système mondial des banques centrales. C’est un système de type Mickey Mouse qui permet aux monopolistes de saisir des actifs en utilisant leur propre monnaie d’échange.

Alors que le pouvoir de créer toute la monnaie fiduciaire, à partir de rien mais qui est une création de dettes, leur a permis d’exercer un contrôle économique et politique immense, l’année 2008 a démontré que leur fraude par usure peut s’effondrer, et le fera certainement. D’où le « Grand Reset ». Répondre à une pandémie, ou sauver des vies, n’a rien à voir avec cela.

Le processus de transition, défini par le WEF comme le « Grand Reset », s’appuie sur les objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations unies. Fondé sur l’idéologie eugéniste générationnelle des oligarques de l’Organisation du Nord-Ouest, le nouveau système de gouvernance mondiale sera une technocratie.

Si la technocratie, dirigée par des technocrates nommés ou élus pour leurs compétences particulières, peut sembler attrayante pour certains, le modèle proposé repose sur la destruction des États-nations pour être remplacé par un ordre technocratique mondial lointain qui ne sert que les intérêts de ses oligarques fondateurs et de ses bienfaiteurs financiers. Ce système technocratique a été décrit en 1974 par l’ancien ambassadeur américain Richard N. Gardner, membre du CFR et de la Commission trilatérale, dans son article The Hard Road To World Order :

Jamais les dirigeants intellectuels du monde n’ont reconnu aussi largement la nécessité d’une coopération et d’une planification sur une base véritablement mondiale. Jamais il n’y a eu une croissance aussi extraordinaire du potentiel constructif des organisations privées transnationales – non seulement des sociétés multinationales mais aussi des associations internationales de toute sorte dans lesquelles des personnes partageant les mêmes idées dans le monde entier tissent des modèles efficaces d’action globale …

L’espoir pour l’avenir prévisible réside, non pas dans la création de quelques institutions centrales ambitieuses à composition universelle et à compétence générale … mais plutôt dans … l’invention ou l’adaptation d’institutions à compétence limitée et à composition choisie pour traiter des problèmes spécifiques au cas par cas … fournir des méthodes pour changer la loi et l’appliquer au fur et à mesure de son évolution et développer la perception des intérêts communs… En bref, la « maison de l’ordre mondial » devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas… mais une course sans fin contre la souveraineté nationale, l’érodant pièce par pièce, accomplira bien plus que l’assaut frontal à l’ancienne.

Les institutions de juridiction limitée, telles que le GIEC et l’OMS, sont déjà en place pour diriger la politique des gouvernements nationaux dans le monde entier. En Grande-Bretagne, c’est le rôle de l’État britannique d’apporter les changements politiques obligatoires afin d’éroder la souveraineté nationale et de créer la technocratie de la gouvernance mondiale. Tous les États mondialistes sont essentiellement anticonstitutionnels et traîtres.

Bill – Porte-parole de l’ordre mondial

L’intérêt commun, déterminé par la classe technocrate sur ordre de ses oligarques payeurs, remplace actuellement les libertés individuelles. L’être humain devient à peine plus qu’une unité à gérer et à diriger et, le cas échéant, à éliminer. Les droits de l’homme inaliénables sont totalement ignorés dans la poursuite de l’intérêt commun.

La crise mondiale de la COVID 19 est un événement catalyseur qui a été utilisé à mauvais escient pour provoquer le Grand Reset. Afin de convaincre la population de se conformer à ses ordres, l’État britannique a inculqué à la population un état de peur.

Les États du monde entier ont pratiqué l’ingénierie sociale en recourant à la tromperie, en faisant du prosélytisme et en faisant preuve d’une foi inébranlable dans une forme illusoire de science (le scientisme), de modification des comportements, de réglementation illégale et de propagande. Ils ont utilisé leur MSM obéissant pour convaincre leurs peuples que la menace de la COVID 19 est beaucoup plus importante qu’elle ne l’est en réalité.

Dans la deuxième partie, nous nous concentrerons sur la tromperie de l’État britannique. Cependant, on peut en dire autant de tous les autres États mondialistes qui ont réagi de la même manière à la pandémie annoncée.

La COVID 19 a été exploitée afin de remplacer nos droits humains inaliénables par une obligation imposée d’obéir aux ordres de santé publique. La santé publique est devenue une biosécurité et il n’existe plus d’être humain en bonne santé. Tous les êtres humains sont désormais exposés à des risques biologiques et ces risques doivent être contrôlés ou retirés de la société pour le bien commun.

Le peuple britannique vivant dans une peur injustifiée, l’État britannique a pu introduire une législation antidémocratique draconienne (au sens propre du terme). Dans d’autres circonstances, cela aurait été impossible sans une révolte importante. Il était essentiel de terroriser les citoyens pour les convaincre de croire que l’État devait leur retirer tous leurs droits et libertés pour assurer leur sécurité.

Au départ, on a trompé le public en lui faisant croire que les « mesures d’urgence » seraient temporaires, puis on a modifié son comportement pour l’obliger à se conformer à une liste de plus en plus longue de règlements totalitaires. L’objectif était d’amener les gens à accepter passivement la dictature d’un État de surveillance rebaptisé « la nouvelle normalité ». Jusqu’à présent, il semble que la plupart des gens aient été suffisamment effrayés pour accepter docilement leur asservissement.

Tout au long de la transition vers le Grand Reset, le visage public du projet mondialiste a été Bill Gates. Cependant, alors que Bill Gates a utilisé sa richesse pour prendre le contrôle de la politique de santé publique mondiale, il n’est que la façade actuelle de l’Ordre Mondial 2.0. Ce sont sur les possibilités technologiques présentées par la 4e révolution industrielle que les architectes de l’ordre mondial sont en train de capitaliser.

Par exemple, bien qu’il n’y ait aucune preuve que la COVID 19 puisse être diffusée en manipulant de l’argent liquide, les MSM ont à plusieurs reprises lancé l’idée. Ce n’est pas une surprise. La BBC fait partie des nombreuses organisations médiatiques directement financées par le BMGF.

Des projets pilotes, tels que le West African Wellness Pass, soutenu par la BMGF, sont déjà en cours. En associant l’identification biométrique, sur le modèle de l’ID 2020 financé par la BMGF, Rockefeller et soutenu par les Nations unies, à des systèmes de paiement sans cash, toutes les transactions peuvent être contrôlées de manière centralisée dans la société sans cash qui se rapproche rapidement.

Lorsque votre identité biométrique inclut votre statut d’immunité aux vaccins, il ne sera pas nécessaire de légiférer pour rendre les vaccins « obligatoires ». Cela permet d’éviter tout débat public controversé. Tant que vous vous conformerez pleinement à vos injonctions, vous serez autorisé à avoir un accès contrôlé à l’activité sociale et économique.

Des systèmes tels que le passeport d’immunité et les certificats de vaccination seront utilisés pour contrôler la liberté de circulation, le droit au travail et l’accès aux services et à la communauté. Comme l’a décrit le porte-parole de l’ordre mondial, Bill Gates :

À terme, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui s’est rétabli ou a été testé récemment ou quand nous avons un vaccin qui l’a reçu.

Bien que les vaccins ne soient pas obligatoires, il est réaliste de penser que vous ne pourrez pas participer à la société, travailler, gérer une entreprise ou recevoir des prestations, sans le vaccin approprié ou le statut d’immunité. Le BMGF a déjà investi plus de 21 millions de dollars dans un projet du MIT visant à créer un système d’administration de vaccins à micro-aiguilles qui injectera une matrice réactive sous la peau du receveur, qui pourra ensuite être scannée par un lecteur. Ce motif agira comme un tatouage à code barre indélébile, permettant aux autorités mondiales de surveiller et de contrôler vos déplacements et votre comportement.

Responsables de la santé publique en Nouvelle-Zélande

L’État néo-zélandais a déjà décidé de retirer des personnes de leur foyer et de les placer dans des installations de quarantaine (centres de détention contrôlés par l’armée). Avec une population estimée à 5 millions d’habitants et seulement 22 décès présumés dus à la COVID 19 dans tout le pays (un risque de mortalité de la population de 0,0004%), et aucun décès du tout pendant près de trois mois, il est clair que ces mesures ne sont pas une réponse à une menace réelle de la COVID 19.

Le fait d’avoir un contrôle total sur les tests et l’attribution du statut de maladie donne à l’État, via la biosécurité, le pouvoir d’éliminer et de détenir potentiellement ses ennemis politiques et ses dissidents sans procès. Les personnes chargées de faire respecter la biosécurité, dans la « nouvelle normalité », ont exactement le même degré de pouvoir autoritaire que celui dont jouissaient les auteurs d’abus de droits similaires, comme la Gestapo et la Stasi. L’histoire nous enseigne-t-elle quelque chose ?

Cette politique de quarantaine en Nouvelle-Zélande est conçue pour maintenir le niveau de peur et habituer la population à la dictature. Elle semble également être une provocation qui peut encourager l’insurrection et la révolte. Avec un monopole sur la violence et l’usage de la force, les soulèvements violents profitent invariablement à l’État autoritaire. Il leur permet de revendiquer la légitimité d’une « répression » encore plus oppressante.

Jusqu’à présent, la réponse mondiale à la COVID 19 s’est peu écartée du scénario « Lockstep / Confinement » suggéré par les Rockefeller dans leur rapport 2010 Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international. Comme l’Event 201, il s’agit là d’un autre exemple de la prescience assez extraordinaire des personnes qui forment la politique de gouvernance mondiale. Ils peuvent non seulement prédire, de manière presque parfaite, ce que les médias vont découvrir et rapporter, mais aussi la nature elle-même.

Le fait de retirer les « infectés » de leurs foyers et de les incarcérer dans des centres de détention reflète la suggestion politique du Dr Michael Ryan de l’OMS. Si la Nouvelle-Zélande est le premier État théoriquement démocratique à faire des raids dans les maisons familiales et à expulser les gens par la force, ce ne sera certainement pas le dernier. L’État britannique s’est déjà donné le pouvoir de le faire dans le cadre des Health Protections (Coronavirus) Regulations 2020.

L’activité économique mondiale sera administrée par les États usant de la biosécurité et fondée sur des objectifs de développement durable. Cette nouvelle économie mondiale, planifiée de manière centralisée, sera limitée aux seules entreprises autorisées.

Avant son départ en tant que gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney a averti, à l’instar du « Grand Reset », que les entreprises qui ne suivent pas les bonnes politiques de développement durable « feront faillite sans aucun doute ». En d’autres termes, les lignes de crédit, sans lesquelles les entreprises ne peuvent espérer fonctionner, seront limitées uniquement à celles qui adoptent les politiques approuvées.

Cette nouvelle économie aura un nombre d’emplois très limité. Andrew Bailey, le successeur de Carney, a déjà déclaré qu’il serait important de ne pas maintenir les gens dans des « emplois improductifs » et que les pertes d’emplois, suite à la crise de la COVID 19, étaient inévitables. Elles n’auraient pas été inévitables si les États mondialistes, comme le Royaume-Uni, n’avaient pas répondu à la crise en bloquant l’économie productive du monde.

L’idée absurde des banquiers et des économistes soigneusement choisis selon laquelle le Royaume-Uni va simplement rebondir après une chute sans précédent de 20 % du PIB est absurde. Avec un taux de chômage officiel de 2,7 millions de personnes, soit plus du double en une seule année, ces chiffres ne sont que la partie émergée d’un très grand iceberg.

On estime qu’il y a actuellement 7,8 millions de travailleurs britanniques supplémentaires mis à pied. Ce programme devrait prendre fin dans quelques mois. La société de conseil en gestion McKinsey & Company estime que 7,6 millions d’emplois britanniques sont menacés. Cela aura, comme toujours, un impact disproportionné sur les plus bas salaires, une analyse suggérant que plus de 50 % des personnes menacées de chômage occupent déjà des emplois rémunérés à moins de 10 livres sterling de l’heure.

Ce sont les emplois improductifs et leurs moyens de subsistance dont Bailey veut se débarrasser. En Europe et en Amérique, des niveaux de chômage vertigineux semblent inévitables. Il n’est pas déraisonnable d’envisager au moins 6 millions de chômeurs de longue durée au Royaume-Uni. Avec le même schéma commun à de nombreux pays développés, les conséquences sociales, économiques et sanitaires de cette situation sont presque incompréhensibles.

Nombreux sont ceux qui avertissent depuis longtemps que le bilan de la réponse du confinement à la supposée pandémie de COVID 19 sera bien pire que la maladie elle-même. Cette terrible perspective devient de plus en plus évidente.

Il n’y a aucune raison de croire les statistiques officielles britanniques sur la COVID 19, ce dont nous parlerons dans la deuxième partie. Cependant, même si nous acceptons que plus de 41 000 personnes sont mortes des suites directes de la COVID 19, cette triste perte risque d’être relativement insignifiante par rapport aux pertes de vies humaines résultant directement de la politique de confinement de l’État britannique.

Il est important de reconnaître que la réponse mondiale au confinement a été un choix politique fait pour créer les conditions économiques du « Grand Reset ». Elle n’était pas inévitable, et rien ne prouve que les mesures de confinement font une différence dans la mortalité de la COVID 19. La Corée du Sud, le Japon et la Suède n’ont pas imposé de confinement complet et tous ont de meilleurs résultats autour de la COVID 19 que le Royaume-Uni.

Les recherches menées par le ministère britannique de la santé, l’Office of National Statistics (ONS), l’Actuary Department du gouvernement et le ministère britannique de l’intérieur estiment que 200 000 personnes pourraient mourir à la suite de la réorientation du NHS, pour traiter la COVID 19 et quelques autres maladies, et des effets économiques des politiques de confinement. Malheureusement, ce scénario du « pire des cas » semble conservateur.

Comme un exemple du « scientisme » dérisoire utilisé pour terroriser la population, l’Université de Glasgow a publié en avril une étude estimant le nombre moyen d’années de vie perdues (YLL) pour les personnes qui seraient mortes de la COVID 19. Dire qu’il s’agit de décès présumés n’implique pas que les personnes sont mortes de la COVID 19, mais seulement que nous n’avons aucune idée du nombre de personnes vraiment décédées de cette maladie.

Néanmoins, en utilisant une méthodologie assez bizarre, les chercheurs de Glasgow sont parvenus à calculer que la durée médiane de la YLL due à la COVID 19 était de 13 ans pour les hommes et de 11 ans pour les femmes. Cette étude était basée sur l’analyse de l’épidémie en Italie, mais elle a été citée par les médias britanniques pour effrayer les Britanniques. Plus de 59% des personnes supposées décédées à cause de la COVID 19 en Italie avaient plus de 80 ans.

L’espérance de vie médiane actuelle au Royaume-Uni est de 80 ans pour les hommes et de 83 ans pour les femmes. Près de 60 % des personnes décédées à la suite de la COVID 19 au Royaume-Uni avaient plus de 80 ans et 20 % avaient plus de 90 ans. L’analyse des registres nationaux d’Écosse (NRS) montre que l’âge médian du décès, censé découler de la COVID 19, était de 81 ans pour les hommes et de 85 ans pour les femmes. Il est statistiquement impossible de distinguer la mortalité induite de la mortalité tout à fait normale.

Les chercheurs de l’université de Glasgow sont financés par le Wellcome Trust, la fondation philanthropique exonérée d’impôts du géant pharmaceutique multinational GlaxoSmithKline. L’université de Glasgow est également bénéficiaire de la bourse COVID 19 Therapeutics Accelerator établie par le Wellcome Trust, Mastercard et la BMGF.

Rien à voir ici – circulez !

Le Wellcome Trust et la BMGF veulent que le monde soit vacciné avec leurs vaccins expérimentaux pour la COVID 19. Malgré le fait que des décennies d’essais n’ont pas permis de produire un vaccin efficace contre le SRAS, ni d’ailleurs pour aucune souche de coronavirus, et que le développement d’un vaccin prend généralement au moins 10 ans, GSK et la BMGF font partie de ceux qui, pour une raison apparemment inexplicable, sont convaincus de pouvoir produire un vaccin efficace contre le SRAS-CoV-2 en quelques mois.

De toute évidence, il existe un énorme conflit d’intérêts financiers au cœur des fausses affirmations de l’université de Glasgow concernant les YLL. Le fait de souligner ce fait fait de vous un théoricien du complot. Bien que l’ignorer nécessite soit un degré considérable de crédulité, soit une intention délibérée de tromper.

Entre 2014 et 2016, les privations économiques et sociales en Angleterre ont constamment représenté une réduction réellement alarmante de l’espérance de vie moyenne de 9,3 ans pour les hommes et, en 2016, une réduction de 7,3 ans pour les femmes. La dévastation économique qui sera causée par la politique de confinement totalement inutile de l’État britannique, et d’autres, mesurée en YLL, éclipsera les personnes perdues du fait de la COVID 19.

C’est le prix que nous paierons tous pour la détermination de la classe parasitaire à réaliser le « Grand Reset » et à transformer l’économie et la société mondiales en une économie planifiée et contrôlée de manière centralisée et absolue par eux. Ils dépensent actuellement des milliards de dollars dans le monde entier en propagande pour nous convaincre d’accepter leur « nouvelle normalité ».

Ils ont besoin de notre consentement pour que leurs plans fonctionnent. Cela signifie que, pour les faire échouer, il suffit de refuser d’obtempérer. Si la protestation pacifique est un droit unificateur important, c’est en fin de compte ce que nous faisons chaque jour qui fera la différence. Il y a un méchant autoritarisme fasciste qui se développe au Royaume-Uni et ailleurs. Pourtant, tout ce que nous devons faire pour le vaincre est de refuser, en masse, de suivre ses ordres.

Malheureusement, l’État britannique fait partie de ceux qui font tout pour nous convaincre de croire à leur récit de propagande autour de la COVID 19, franchement ridicule et scientifiquement infondé. Il suffit de se rendre au supermarché local et de voir la majorité sans visage et muselée pour savoir que la tromperie fonctionne.

Nous sommes confrontés à un choix existentiel. Nous pouvons soit renoncer à toute prétention enfantine selon laquelle nous vivons dans une société démocratique libre et ouverte qui valorise la liberté et la pluralité d’opinion, et accepter le régime dictatorial fasciste d’un parasite technocratique mondial, soit exercer une résistance consciente et refuser de se conformer aux ordres de l’État.

Dans la deuxième partie, nous allons disséquer le mécanisme de l’escroquerie de l’État britannique. Si les politiques de confinement ont leur origine au niveau mondial, en examinant la manière dont l’État britannique les a mises en œuvre et la tromperie qu’il a utilisée pour convaincre le public de les accepter, la véritable nature de l’escroquerie peut être révélée.

Iain

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