Affichage des articles dont le libellé est virilité. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est virilité. Afficher tous les articles

jeudi 14 février 2019

Le féminisme est une maladie

Article original de Brandon Smith, publié le 25 janvier 2019 sur le site alt-market.com
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr 


et la masculinité est en le remède.



De nos jours, il semble que tout le monde jusqu’à la grand-mère gender-fluide a une vision « profonde » de l’esprit et du monde des hommes. Les médias parlent des hommes et de la masculinité avec des tons aigus de peur mêlés de mépris, comme si nous étions une dangereuse anomalie génétique aberrante qui doit être étudiée sous un microscope spécial qui protégera l’observateur d’être influencé par nos phéromones vitrioliques. Le problème est que la plupart de ces « experts » de la virilité ne sont pas du tout des hommes, ou que leurs observations du comportement masculin sont teintées de ressentiments profondément enracinés. C’est-à-dire qu’ils ne sont guère objectifs.


mercredi 17 janvier 2018

La virilité fera-t-elle un retour en 2018 ?

Article original de Brandon Smith, publié le 3 janvier 2018 sur le site alt-market.com
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr



Les hommes embrassant leur masculinité et leur patrimoine biologique n’ont pas eu un parcours très facile ces dernières années, du moins, pour ceux qui se soucient d’être étiquetés comme une malédiction « toxique »  pesant sur l’histoire du monde. Pour ma part, franchement, je suis indifférent aux grincements et aux lamentations des féministes et des adeptes du culte de la justice sociale. Ils ne sont qu’un tigre de papier et l’ont toujours été. Au-delà de cela, il est presque impossible de vivre dans le Montana rural sans être un homme capable (ou vivant dans une famille avec des hommes capables). Même si je voulais devenir une sorte de libéral métrosexuel du style « mon-petit-poney » l’environnement ne pourrait tout simplement pas me le permettre. Je serais dévoré vivant, ou je devrais partir.