Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr
J’ai déménagé à Santiago du Chili pendant les années Obama : 2012, pour être exact. Je pensais, comme beaucoup d’autres, que la réalité financière n’étaient pas encore dévoilées, que les relations raciales allaient s’aggraver (c’est le cas de le dire !!) et que d’autres pays offraient de meilleures perspectives en tant que refuges pour les libertés individuelles que des États-Unis en déclin. Bien que nous ayons envisagé plusieurs endroits (Nouvelle-Zélande, Belize, Costa Rica, Panama), nous sommes revenus au Chili en raison de l’infrastructure de premier ordre de ses grandes villes, de sa convivialité pour les gringos, de sa forte économie et de sa stabilité politique. J’ai fait la promotion du Chili en tant que tel. (Allez ici et ici ; de quoi rire un peu.)