Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr

De nos jours, marcher dans le centre-ville de Florence me rappelle mon enfance, quand Florence n’était pas pleine de touristes. C’est une expérience fantomatique : il n’y a presque personne. Les quelques Florentins qui se promènent dans les rues ont l’air perplexe, comme s’ils se demandaient « et maintenant ? » Toute l’Italie est comme ça, figée : les écoles et les universités sont fermées, la plupart des restaurants ont fermé et les trains et les bus roulent presque à vide.