Article original de Alex S., publié le 2 Novembre 2015 sur le site Club Orlov
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr
Note de Dmitry Orlov
L'Allemagne, pays au centre de l'Union européenne avec son économie puissante, est devenue une sorte de trou noir. 70 ans après la chute du nazisme, c'est encore un pays occupé, sous domination militaire et politique des États-Unis. La presse nationale, populairement appelée Lügenpresse [la presse mensongère] fait fidèlement écho à la ligne du parti décidée à Washington.
Les politiciens veules de l'Allemagne, risée populaire, passant de Volksvertreter [représentants du peuple] à Volksverräter [traîtres au peuple] ne valent pas mieux. Nous sommes donc incapables de voir ce qui se passe réellement là-bas, comme l'Union européenne est en train, selon les mots du ministre des affaires étrangères de la Fédération de Russie, Sergueï Lavrov, de se suicider en laissant entrer les hordes d'invasion du Moyen-Orient.
Ce bref rapport d'Alex, qui nous raconte ce qu'il voit, est le bienvenu.
Vous rappelez-vous la dernière fois que vous avez vu un homme
avec des yeux sauvages, des vêtements étranges et un signe géant autour
de son cou signifiant : «la fin est proche» ?… [Oui, Tintin, l’Etoile Mystérieuse, NdT]
« Ridicule et pathétique! », vous seriez en droit de le penser.
Maintenant, imaginez la réalité de votre pays changeant de semaine en
semaine à un point où vous arrivez à la même conclusion que votre
sauvage, sentant soudain que son approche pourrait être raisonnable
après tout. Quand une grande partie de vos compatriotes humains
attrapent une étrange maladie, celle qui mène à une folie collective
plus vite que la pire épidémie de zombies, vous pourriez découvrir, vous
aussi, qu’il n’y a plus de stratégies viables.
Ceci est exactement ce qui se passe pour moi, ainsi que pour la
plupart des gens que je connais, maintenant, ici même dans notre
Allemagne, championne de l’exportation, modèle de la démocratie. Les
gens sensés se trouvent isolés et impuissants au milieu de politiciens
fous, d’une presse hostile, de communautés paralysés et d’une grande
foule inerte incapable même de comprendre ce qui se passe. Je suis bien
sûr en train de parler de la soi-disant crise des réfugiés,
mais parce que ce nom même travaille contre nous, je vais l’appeler pour
ce qu’elle est vraiment, une guerre contre l’Europe au moyen d’une
invasion. Il est maintenant d’une importance vitale d’appeler les choses
par leur nom, parce que c’est ce qui distingue l’ami de l’ennemi.
Mais il est encore plus important de comprendre pourquoi c’est une
guerre plutôt qu’une crise provoquée par des réfugiés. Tout les
développements de cette crise portent la marque d’une opération militaire ou de services secrets.
Tout d’abord, regardez le calendrier et l’ampleur du phénomène. Cela a
vraiment décollé autour de septembre, et en moins de deux mois, il est
déjà une menace pour la stabilité de l’Europe dans son ensemble, à un
point tel que même les leaders européens parlent de la fin de
l’Union européenne. Des chiffres crédibles ne sont pas disponibles, mais
le gouvernement allemand estime que le nombre de réfugiés qui
sont déjà arrivés, se situe quelque part entre un et deux millions, de
sorte que le nombre réel est probablement beaucoup plus grand. Presque
tous les camps sont débordés avec beaucoup plus de personnes qu’annoncé
par les médias. Certaines villes sont contraintes de faire face à un
nombre de réfugiés qui fait plus que doubler la population réelle.
Demandez-vous, pourquoi des millions d’hommes – l’écrasante majorité
sont des hommes jeunes – ont soudainement et collectivement décidé de
laisser leurs familles derrière eux, de quitter leur pays, de voyager
sur des milliers de kilomètres avec en tête des destinations spécifiques
comme l’Allemagne, l’Autriche ou la Suède, en ignorant tous les autres
pays sûrs en chemin ? Qui leur a dit que cela en valait la peine ? Où
ont-ils tous obtenu de l’argent pour payer cela ? Pourquoi n’y a-t-il eu
absolument aucun effort aux frontières pour les arrêter ? Pourquoi cela
n’a-t-il pas commencé plus tôt ? Après tout, le Moyen-Orient est une
zone de guerre depuis des années, depuis que les États-Unis ont exploité
le 9/11 pour commencer à propager la démocratie. Comment cela
a-t-il pu se produire en quelques jours, quelques semaines au plus.
Est-ce que les cent mille premiers ont envoyé un message aux autres pour
leur dire qu’ils pouvaient venir eux aussi ? Si oui, comment ?
Deuxièmement, regardons les caractéristiques du réfugié moyen.
Pourquoi sont-ils tous bien nourris, bien vêtus, des hommes jeunes,
sûrs d’eux, ne montrant aucun signe de stress ou de difficultés ?
Pourquoi ont-ils laissé leurs familles derrière eux ? Savent-ils que
leurs épouses et leurs enfants pourront les suivre plus tard ? Si oui,
comment ? Pourquoi ces hommes ne veulent-ils pas rester là-bas pour
essayer de sauver leur pays ? Pourquoi ont-ils tous des téléphones
portables de qualité et comment possèdent-ils un crédit de communication
apparemment sans fin ? Il est clair que les réfugiés ont été
précisément informés du genre d’avantages sociaux qu’ils peuvent exiger,
et comment s’y prendre pour le faire, et donc ils sont audacieux et
deviennent violent s’ils rencontrent une résistance. Ils exigent même
des traitements médicaux coûteux, qui sont accordés et pris pour acquis.
Pourquoi ?
Il n’y a aucune vérification des antécédents pour quiconque,
naturellement, parce qu’il n’y a pas le temps, pour faire dix mille ou
plus, de ces vérifications d’antécédents chaque jour. Pour ce que nous
savons, ces personnes pourraient être des criminels, des mercenaires ou
des terroristes. Un nombre inconnu à des maladies graves, telles que
l’hépatite, la tuberculose et même la peste. Personne ne garde de trace
de cela, personne ne l’enregistre, personne ne limite leur liberté de
mouvement. Ceux qui se laissent enregistrer, ont la plupart du temps
des passeports syriens falsifiés émis en Turquie, distribués comme des
bonbons, même pour des Africains noirs qui ne ressemblent en rien à des
Syriens. Des dizaines de milliers de réfugiés disparaissent de
leurs camps. Certains ont même arrêté les trains spéciaux à mi-chemin
de leurs destinations en tirant le frein d’urgence et ont disparu sans
laisser de traces. Où et pourquoi ? On ne le sait pas. Personne ne pose
de questions, mais ce qui est clair, c’est que nous avons complètement
perdu le contrôle sur le territoire européen.
Troisièmement, il y a cette petite affaire de collaboration et de
trahison. Même si cela est une authentique crise de réfugiés, pourquoi
est-ce qu’aucun des politiques du gouvernement allemand/européen n’en
donne le sens ? Et pourquoi la presse agit-elle continuellement et
uniformément en faveur de ces politiques, et pourquoi est-elle carrément
hostile envers la population européenne ? Si des millions de personnes
doivent fuir un péril immédiat, il y a beaucoup de façons différentes
pour en prendre soin sans mettre en danger l’intégrité de l’Europe et
ruiner plusieurs budgets nationaux. Mais au lieu de discuter de ce qui
doit être fait, comment le faire et comment payer pour cela, le plan
semblait être prédéterminé, décidé et fixé depuis longtemps.
La solution politique consiste à injecter dans chaque ville
et village en Allemagne, en Autriche et en Suède, des personnes
d’origine inconnue aux intentions inconnues. Ceci est accompagné de
communiqués saluant le processus, sous-estimant leur nombre et
supprimant les rapports sur les crimes commis par les réfugiés,
accablant et diabolisant toute forme d’opposition. Chaque branche du
gouvernement, toutes les autorités et les partis, de concert avec la
presse, se serrent les coudes pour assumer la promotion de ce programme
contre l’indignation écrasante de leurs citoyens en fermant les yeux sur
le fait que cela est contraire à la loi. La censure, la propagande, les
discours de haine, de chantage, les diffamations et le rejet clair des
droits démocratiques fondamentaux contre toute opposition, sont tout
simplement en train d’exploser en ce moment. Un exemple de cela est le
vice-chancelier de l’Allemagne, Sigmar Gabriel, qui a appelé vermine, une partie non définie, mais importante de la population allemande qui ose s’opposer à cette folie.
Toute personne qui prend position en Allemagne aujourd’hui,
s’opposant à la politique du gouvernement concernant les réfugiés, est
sévèrement insultée et étiquetée comme extrémiste de droite, criminel
haineux et danger pour la société. Certains sont mis en avant et
persécutés en public à l’aide de vastes campagnes de diffamation.
L’auteur Akif Pirinçci est devenu la dernière victime après avoir fait un discours à une manifestation PEDIGA, l’accusation portée contre lui étant fondée sur un mensonge flagrant.
Même la protestation la plus pacifique est immédiatement
menacée d’une interdiction. Tout discours ou publication mentionnant le
mot trahison ou des accusations comparables fait instantanément l’objet
d’enquêtes sur la base de charges telles que démagogie ou incitation à
la haine. Les exemples actuels peuvent être trouvés chaque jour dans les
principaux points de vente traditionnels tels que Der Spiegel, Die Welt, Bild et
autres. Si cette situation était survenue par hasard, un tel consensus
spontané aurait été extrêmement improbable. Mais dès le premier jour, on
a vu une campagne de propagande/diffamation évidente contre la vérité
et contre les intérêts de la population européenne.
La presse allemande, elle-même, a obtenu un nouveau surnom : Lügenpresse (la presse mensongère [Les merdias, NdT])
est un mot qui peut être entendu à chaque coin de rue. En privé, les
responsables politiques sont tout le temps appelés des traîtres.
La compagnie nationale de chemin de fer a reçu l’ordre d’offrir des trains spéciaux gratuits pour les réfugiés,
les amenant dans tous les coins de l’Allemagne le plus rapidement
possible tout en retardant les trains réguliers. Les maisons et les
appartements vacants sont confisqués par la force et livrés à des réfugiés gratuitement. Chaque réfugié dans
des logements locatifs, reçoit de la communauté, jusqu’à 400 euros par
personne et par mois. Voici une grande opportunité pour certains salauds
qui veulent se faire de l’argent très vite, sur le dos d’Allemands
malades et de personnes âgées sans abri.
La police et la presse ont reçu l’ordre de supprimer les rapports sur tous les crimes que les réfugiés commettent,
de sorte que vous n’en trouverez pas dans la presse, ni même dans les
rapports de police. Mais si vous demandez autour de vous, vous entendrez
beaucoup d’histoires sur les agressions et les viols qui sévissent dans
chaque ville et de nombreuses communes en Allemagne. Certains camps de réfugié ont
brûlé, mais la plupart ont été brûlés par leurs habitants, la plupart
du temps en signe de protestation ou en raison de désaccords mineurs.
Les sirènes de police se font entendre dans chaque ville chaque heure
maintenant.
Lorsque les réfugiés ont commencé par des vols à l’étalage,
puis des raids dans les supermarchés, le gouvernement a dit aux
détaillants de garder le silence à ce sujet, et a payé pour tout ce qui a
été endommagé ou volé. Les seules exceptions sont l’alcool et les
cigarettes, tous les autres produits de vente au détail sont libres,
sans poser de questions.
Le secteur des petites entreprises a déclaré que les réfugiés étaient
inemployables, en raison de leur non qualification, du refus de
travailler et du manque de compétences linguistiques. Cependant, les
experts dans la presse y voient en quelque sorte une grande opportunité pour
faire croître l’économie. Il n’y a aucune discussion critique et aucun
plan pour l’avenir. Le seul conseil que la chancelière Merkel a donné à
l’Allemagne était « Wir schaffen das » [On s’en occupe], sans
expliquer exactement ce que nous allons faire, ni comment. Mais
quiconque est assez courageux pour penser par lui-même peut facilement
le deviner.
Pour faire court, tout le bon sens politique et l’instinct humain
interdiraient un tel comportement irresponsable et potentiellement
irréversible, pour ne pas mentionner qu’il est illégal. Son résultat
final est clairement visible, c’est soit la ruine de l’Europe,
principalement des pays ciblés par les réfugiés, l’Allemagne,
l’Autriche et la Suède, soit la guerre. Comme je ne crois pas que
des coïncidences ou une stupidité de cette ampleur soient possibles, il
ne peut s’agir que de trahison ou de haute trahison. Au moins deux
plaintes ont été déposées contre le gouvernement actuel, l’une pour
crime d’immigration organisée, et une autre tout récemment pour haute
trahison. Environ quatre cent personnes en sont à l’origine. Elles sont
peu susceptibles de réussir, parce que le pouvoir judiciaire est
complice. Mais si ce n’est visiblement pas de la haute trahison
actuellement, cela sera nommé ainsi dans quelques semaines par tout le
monde, parce qu’il n’y a pas de fin en vue.
Le reste de la société organisée est tout aussi traître. La presse
s’est elle-même ouvertement déclarée ennemi de la démocratie et du
public en général, et au mieux collaboratrice. L’église, même si elle
est immédiatement menacée par un Islam violent, prie pour plus
d’immigrants, condamnant les personnes qui osent émettre des doutes.
L’intelligentsia est silencieuse ou applaudit leur (notre) altruisme. La
trahison est complète. La police et l’armée sont complètement
dépassées. L’armée a été réduite en taille depuis longtemps au point de
la rendre d’une inefficacité totale et cela a été souligné par des
missions internationales. La police n’est tout simplement pas équipée
pour gérer des millions d’ennemis potentiels se déployant dans toute
l’Europe, en attendant l’ordre d’attaquer.
Pour les observateurs étrangers, cela peut sembler farfelu et
exagéré. Mais considérez ceci : dans certaines régions d’Allemagne,
lorsque vous appelez la police maintenant, personne ne répond au
téléphone. Quand ils le font, ils sont incapables de faire quoi que ce
soit. Un de mes amis a appelé la hotline de la police, et non le numéro
d’urgence local habituel, on lui a conseillé de former une sorte de
milice pour résoudre le problème. Une ville de six cent habitants a une
douzaine de policiers tout au plus, mais souvent un millier de réfugiés à gérer. Personne ne viendra à leur aide si ces réfugiés décident
de prendre ce qu’ils croient être leur dû parce que quelqu’un le leur a
dit, je suppose. Nous sommes à la dérive dans un océan d’ennemis, et la
ligne de front dans cette guerre longera les paillassons de nos portes
d’entrée.
Je me trouve plongé dans un cauchemar, incapable de me réveiller. La
plupart des gens se sentent impuissants et ne veulent pas accepter la
triste vérité : nous avons été trahis par ceux – excepté peut-être la
police et l’armée – à qui nous avions confié notre sécurité et nos
espoirs pour l’avenir. Même si la fin de l’économie mondiale, dans sa
forme actuelle, me semblait déjà actée, ce genre de trahison avec tout
ce que cela implique de mauvaise intention, tout cela m’a pris par
surprise. Parmi la vingtaine de mes interlocuteurs à qui j’ai parlé de
ce sujet en confiance, absolument tout le monde est convaincu que l’on
se dirige vers une guerre civile et rapidement ! La seule question qui
reste est de savoir si ce sont les Allemands qui la commencent, ou les réfugiés,
ou notre gouvernement ou d’autres facteurs. Nous ne sommes qu’à un
accident majeur du chaos absolu. J’ai entendu plusieurs personnes liées
aux milieux de la sécurité européenne indiquant que le marché des armes
illégales est complètement épuisé, avec de nombreux concessionnaires
gardant leurs armes pour leur propre usage personnel. Ceci est une
rumeur, mais depuis que nous sommes forcés de compter sur le ouï-dire
pour toute information réelle maintenant, j’ai tendance à le croire.
Il y a un petit mouvement de protestation qui fait les manchettes en
Allemagne et même à l’international. Le mouvement PEDIGA se rassemble
chaque lundi à Dresde pour protester contre la politique d’immigration
européenne depuis une année entière maintenant. Ils ont eu beaucoup de
soutien depuis que la mauvaise politique d’immigration a donné naissance
à cette Völkerwanderung [migration de masse] fabriquée. Ce 19
octobre, premier anniversaire du rassemblement, environ 35 à 40 000
personnes sont venues manifester pacifiquement, seulement pour être
attaquées par plusieurs milliers de manifestants violents du
mouvement Antifa. Un groupe prétendument anti-fasciste, si violent et
fasciste dans son comportement, qu’il ferait un excellent vivier de
recrutement pour les fascistes réels de la SA ou du NSDAP. Un des
manifestants de PEDIGA a été battu et grièvement blessé avec une barre
de fer avant même le début du rassemblement. Plusieurs centaines de
policiers ont dû se battre pendant des heures. Le mouvement Antifa, qui
est connu par beaucoup comme étant le deuxième organe exécutif du
gouvernement, n’est rien officiellement, mais c’est une force mobile
efficace pour réprimer la résistance, exactement comme les SA, il leur
manque seulement de beaux uniformes. Partout où des manifestations sont
annoncées, les membres Antifa s’y rendent pour exprimer leur opinion
avec des arguments « qui frappent fort« .
Sans surprise, PEDIGA est une cible de choix pour la haine et la
diffamation en ce moment. Aussi petit soit-il, les élites semblent le
considérer comme un réel danger, puisque la presse aux ordres s’acharne
contre lui depuis un an sans réussir à l’étouffer. Mais aussi important
qu’il puisse être localement, le résultat semble irréversible.
L’invasion a déjà réussi. Chaque jour qui passe, les chiffres tournent
de plus en plus à notre désavantage. A présent, le meilleur résultat
serait une guerre civile dans les prochains mois, pour inverser cette
évolution. Le pire résultat étant une désintégration complète des
nations européennes dans l’année qui vient, rendant de grandes parties
du continent ingouvernables. Le divorce entre le gouvernement et le
peuple est presque consommé maintenant. Aucune personne saine d’esprit
ne croit plus la presse ou les politiciens. Ceux qui y croient encore se
retranchent dans des fantasmes de haine des autres et de soi. Jamais
auparavant n’a été plus visible pour moi que cette société est
complètement détruite, avec chaque élément clé, agissant contre les
intérêts à la fois individuels et collectifs, apparemment suivant des
ordres, tout en creusant leurs propres tombes.
Une fois de plus, l’obéissance aveugle a repris la société allemande,
mais cette fois sans le consentement des masses, parce que cette fois
la solution finale les concerne. Le chaos qui suivra ne sera en aucun
cas un accident : il est voulu et ordonné.
Une fois encore, est-ce qu’une autre génération aura à répondre à ses
petits-enfants : Comment avez vous pu laisser cela arriver ?
Alex S.
Revue de Presse Allemande
Revue de la presse allemande au sujet de l’immigration
Note du traducteur
"cette fois la solution finale les concerne" : Alex a le sens de la formule et n'y va pas avec le dos de la cuillère. C'est vraiment un témoignage alarmiste. Il faut dire que la collusion et/ou l'incompétence des autorités permettent toutes les craintes et tous les fantasmes. On se demande s'il y a encore un pilote dans l'avion, s'ils ne sont pas devenus fou la haut ? En lisant ce texte, j'ai repensé à la BD d'Arleston et Mourrier Troll de Troy, l'un des albums où Teträm, le Troll enchanté, doit se battre pour sa vie contre une bande de Trolls blancs. Malgré sa force, le combat est inégal et il va succomber. Pour le sauver, le magicien le délivre de l'enchantement qui a permis de le civiliser, il le déshumanise, il le rend à son animalité.
Il y a de quoi être inquiet. Ces politiciens sont-ils en train de rouvrir la boite de pandore d'une Europe féodale guerrière. Se rendent-ils compte que dos au mur, les européens d'origine mais aussi les anciens immigrés qui ont fait d'énormes efforts d'intégration pour s'assimiler, ne vont certainement pas se laisser faire et vont aller puiser au fond d'eux même la force de résister et que pour ça il va falloir faire sauter toutes les strates de civilisation qui avaient lentement formé notre réalité anthropologique.
Liens
Cette vague migratoire est aussi un angle d'observation de dedefensa concernant l'avenir du Système, son emprise déstructurante sur l'Union Européenne et sur l'Allemagne, son leader économique de facto.
L’avenir de l’Europe repose sur cette héroïne de pacotille
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