Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr
Cela ne surprendra peut-être pas beaucoup de mâles, mais les femelles humaines ne ressemblent pas au reste des animaux sur terre. Les femelles humaines ont un facteur unique et totalement différencié de presque toutes les autres formes de vie animale ; leur corps cesse d’être capable de gestation à peu près au milieu de leur cycle de vie. Ce passage naturel à la stérilité (ménopause) ne se produit pas dans le règne animal (ni chez les mâles humains) essentiellement tant qu’ils vivent. En fait il peut y avoir un couple de baleines et de marsouins qui peuvent aussi passer par la ménopause… mais je m’écarte du sujet. Les animaux et les hommes mâles sont encore capables de se reproduire presque jusqu’à la fin. Mais pas les femelles humaines. Même avant que la ménopause ne prenne complètement le dessus, généralement vers 50 ans, le taux de fertilité chute radicalement après 40 ans et les fausses couches se multiplient chez celles qui sont capables de tomber enceintes. À 45 ans, les grossesses cessent pour l’essentiel.
Quel est le rapport avec l’économie, vous demandez-vous peut-être ? L’évaluation de la taille et de l’évolution de la population humaine est très différente de celle de toute autre espèce sur terre en raison de cette période de fertilité tronquée chez les femmes. Ainsi, pour évaluer l’orientation de notre espèce, ainsi que la consommation future et l’activité économique potentielle, nous devons nous concentrer sur les naissances annuelles par rapport à la population féminine de 20 à 40 ans et comprendre que la population féminine de 40 ans et plus après la naissance est, du point de vue de la fertilité, simplement une chambre d’écho inerte.
Les populations de 20 à 40 ans et de 40 ans et plus indiquées ci-dessous jusqu’en 2040 ne sont pas des estimations ou des projections, mais des personnes réelles qui existent déjà et qui (en l’absence d’une pandémie, d’une guerre mondiale ou d’un changement dans l’espérance de vie) glisseront en âge au cours des 20 prochaines années. Toutes les données (sauf indication contraire) proviennent du rapport des Nations unies « Perspectives de la population mondiale 2019 », qui collecte et compile toutes les données provenant des organismes nationaux et régionaux. Les seules variables réelles dans ce que je vais montrer ci-dessous sont l’immigration, les décès et les naissances au cours des 20 prochaines années. Je me concentre aussi principalement sur le monde à l’exclusion de l’Afrique. L’Afrique consomme si peu, a des taux d’émigration relativement très faibles, dépend fortement du reste du monde pour sa croissance économique, mais du point de vue de la population, sa croissance est si rapide qu’elle fausse le tableau.
Les 80 % de la population mondiale qui consomment 97 % des exportations/de l’énergie sont au début d’un déclin sans fin prévisible de la population en âge de procréer, et couplé à la baisse continue des taux de fertilité, les Nations unies prévoient que le déclin des naissances (à l’exclusion de l’Afrique) qui a lieu depuis 1989 ne fera que se poursuivre. Mais je vais montrer pourquoi une baisse significative des naissances annuelles est bien plus réaliste que les projections des Nations unies. Et étant donné que les nations les unes après les autres signalent des baisses « choquantes » des naissances en 2018 et de nouveau en 2019… les estimations des naissances ne devraient être que nettement inférieures car quelque chose de très important semble se produire.
Les 70 dernières années…
- 1950-1989
- +32 millions de naissances annuelles,
- +375 millions de femmes de 20 à 40 ans,
- +320 millions de femmes de 40 ans et plus
- 1989-2020
- -17 millions de naissances annuelles,
- +230 millions de femmes de 20-40 ans,
- +680 millions de femmes de 40 ans et plus
- 2020-2040
- -10 millions de naissances par an d’ici 2040,
- -32 millions de femmes de 20 à 40 ans,
- +435 millions de femmes de 40 ans et plus
Ci-dessous, j’affiche les mêmes données que ci-dessus, mais en se concentrant sur l’évolution annuelle des 20 à 40 ans (colonnes rouges) par rapport aux mêmes pour les 40 ans et plus (colonnes bleues), les naissances annuelles (ligne noire) et le taux des fonds fédéraux (ligne jaune). Du point de vue de la population mondiale, les années 1980 ont marqué un tournant ; le taux des fonds fédéraux a atteint son maximum en 1981 (limitant l’accès au capital alors que la croissance de la demande mondiale était à son apogée), la croissance annuelle de la population féminine en âge de procréer a atteint son maximum en 1985 (ajoutant près de 18 millions de femmes rien que cette année-là), et les naissances annuelles ont ensuite atteint leur maximum en 1989. Depuis 1989, la croissance annuelle des moins de 40 ans ne cesse de ralentir, les naissances continuent de diminuer et le taux des fonds fédéraux est en baisse. En 2020 ou 2021, la population mondiale de femmes en âge de procréer (à l’exception de l’Afrique) commencera à décliner. La seule chose qui augmente est la croissance annuelle de la population des 40 ans et plus. Cependant, l’écho de la croissance annuelle de la population féminine post-fertilité atteindra son maximum vers 2028… puis amorcera rapidement la trajectoire de décélération (toujours en croissance, mais beaucoup plus lentement, alors que la population en âge de procréer continuera à décliner carrément indéfiniment).
Vue d’ensemble des régions du monde.
Asie de l’Est (Chine, Japon, Taïwan, Corée du Sud et du Nord, Mongolie)
Pour l’Asie de l’Est, 1989 a été l’année du pic des naissances annuelles, et le point de passage ou le nombre de femmes post-fertilité dépassant celui des femmes fertiles a eu lieu en 2000. Les naissances continuent de baisser, tout comme la population féminine en âge de procréer. Seule la population inerte en termes de fécondité après la procréation continue à augmenter. D’ici 2040, la région devrait atteindre un ratio de 2,8 après la naissance d’un enfant par rapport au nombre d’enfants en âge de procréer. Plus ce ratio sera élevé, plus la pression financière et sociétale des générations âgées sur les jeunes générations sera forte… ce qui aura un impact négatif supplémentaire sur les taux de fécondité et la demande/croissance économique.Chine
Les naissances de 2020 seront inférieures d’environ 50 % au pic de 1989, et compte tenu de la baisse connue d’un minimum de 45 millions de femmes en âge de procréer d’ici 2040 (et de près de 70 millions de moins, soit -30 %, par rapport au pic de 2000), il n’y a vraiment aucune raison valable (autre qu’une intervention massive du gouvernement) pour que les naissances ne diminuent pas davantage de manière significative. Aujourd’hui, il a été annoncé que les naissances de 2019 continueront à baisser en spirale, avec 14,5 millions de naissances (53 % de moins que le pic des naissances). Mon estimation ci-dessous pour les naissances chinoises, ligne bleue en pointillés, est probablement trop « optimiste ». D’ici 2040, il y aura plus de 2,7 femmes infertiles pour chaque mère potentielle. Donc un accord commercial [Allusion à Trump, NdT] avec une nation qui a une demande intérieure indéfiniment réduite et une surcapacité massive de logements, d’usines, etc. pour une population (sans parler de la classe moyenne) qui ne viendra jamais…hmm, intéressant.Japon
Si le Japon était un pays humain, il serait temps d’introduire les soins palliatifs. Du point de vue de la croissance, ces soins sont en phase terminale, car même le segment des 40 ans et plus en est aussi maintenant à diminuer en même temps que les naissances et la population en âge de procréer. D’ici 2040, il y aura plus de 3,7 femmes infertiles pour chaque mère potentielle. Ce qui a sauvé le Japon pendant le long déclin de la demande intérieure, une longue hausse de la demande d’exportation mondiale, est maintenant terminé. Les modèles japonais/allemands de dépendance aux exportations pour compenser la décélération/le déclin de la demande intérieure reposaient sur une demande mondiale en forte hausse qui n’est tout simplement plus soutenue par une population mondiale croissante de consommateurs potentiels.La Corée du Sud
Je suis sans cesse choqué lorsque je regarde la Corée du Sud. L’effondrement de 70 % des naissances annuelles ne fera que s’accélérer, car le nombre de personnes capables de procréer est en chute libre… alors que la population de plus de 40 ans éclipse les moins de 40 ans de plus de 2 pour 1 maintenant et sera presque de 4 pour 1 en 2040 (une affaire conclue, pas une prédiction). En l’absence d’un mandat de l’État, le nombre de grossesses (ou autres) diminuera de plus de 80 % et pourrait même baisser de plus de 90 % d’ici 2040 ? Une société qui choisit collectivement de ne pas se reproduire ou de se remplacer… essentiellement en commettant un suicide collectif à un moment où la Corée connaît l’abondance la plus relative qu’elle ait jamais connue, cela dépasse l’entendement ! Une fois de plus, l’effondrement de la demande intérieure alors que les marchés d’exportation mondiaux se replient sur eux-mêmes pour répondre à leurs besoins… cela dépasse l’entendement et ce ne sera pas beau à voir.Europe de l’Est (Russie, Belarus, Bulgarie, Ukraine, Tchéquie, Hongrie, Pologne, Moldavie, Roumanie, Slovaquie)
En 2030, les femmes en âge de procréer d’Europe de l’Est seront près d’un tiers moins nombreuses qu’elles ne l’étaient en 2011. Je pense que si le nombre de femmes en âge de procréer diminue d’un tiers et si les taux de fécondité restent stables ou diminuent, les naissances seront nettement inférieures aux prévisions des Nations unies. La baisse actuelle de 50 % devrait être de l’ordre de 70 % et plus d’ici 2040. Comme au Japon, la population post-fertilité de l’Europe de l’Est devrait commencer à diminuer vers 2030, et l’accélération du dépeuplement sera à l’ordre du jour. L’année 2030 sera également celle où le ratio post-fertilité/fertilité atteindra son maximum, soit près de 3 pour 1.Europe de l’Ouest
Ce n’est pas aussi dramatique que l’Asie de l’Est ou l’Europe de l’Est grâce à l’immigration continue, mais la destination est la même. Il y a des quantités croissantes de population féminine post-fertilité et toujours moins de naissances et de mères potentielles dans un ration de 2,9 en 2040. Le poids des promesses faites aux personnes âgées d’être payées par les jeunes est un poids écrasant qui ne fait que déprimer davantage le nombre de naissances.Les États-Unis
Les graphiques pour les États-Unis ont un gros problème, ils supposent des taux élevés d’immigration (principalement de gens en âge de procréer) pour maintenir une population en âge de procréer stable entre 2020 et 2040. Toutefois, la réalité est qu’en 2019, les États-Unis ont connu la plus faible croissance démographique de leur histoire pour trois raisons : le nombre de naissances, le flux net de Mexicains en situation irrégulière et le renforcement des contrôles aux frontières, qui a permis de réduire l’immigration clandestine à un niveau relativement faible. En outre, les lieux d’où viennent maintenant les immigrants américains légaux (Chine, Inde) et les niveaux d’éducation et de revenu des femmes qui arrivent… ces immigrants ont des taux de fertilité encore plus bas que la population américaine en général.Pour la population autochtone, la hausse du coût de la vie (loyer, soins de santé, assurance, crèche, éducation, etc.) est supérieure à l’augmentation des revenus, ce qui oblige les couples à être des DINK (double revenu, no kids) pour éviter le naufrage financier. Se marier et avoir des enfants est tout simplement un luxe que l’on trouve de plus en plus souvent au-dessus de ses moyens… et avec la généralisation des moyens de contraception, c’est un choix plus que jamais possible. Le rapport entre le nombre de femmes infertiles avec celles en âge de procréer aux États-Unis sera d’au moins 2,2 d’ici 2040… mais si la population en âge de procréer diminue, comme je le prévois, le rapport (et le poids sociétal qu’il représente) gonflera.
Amérique latine (Hémisphère occidental, sauf États-Unis/Canada)
Les naissances sont en baisse, la population en âge de procréer est au zénith et va bientôt entamer son déclin séculaire, et seule la population post-fertilité est en croissance. D’ici 2040, le rapport entre la population en âge infertile et l’autre sera d’environ 1,8 pour 1.Asie du Sud-Est (Cambodge, Brunei, Indonésie, Laos, Malaisie, Myanmar, Philippines, Singapour, Thaïlande, Vietnam)
La croissance de la population en âge de procréer est terminée et une longue période de stagnation de la population en âge de procréer est en cours depuis plusieurs décennies. Les naissances vont probablement diminuer lentement avec la baisse des taux de fertilité au sein d’une population en âge de procréer à croissance zéro. D’ici 2040, le nombre de personnes infertile sera supérieur à celui des personnes en âge de procréer dans un rapport de 1,8 pour 1.Asie du Sud (Inde, Pakistan, Afghanistan, Bangladesh, Iran, Bhoutan/Népal, Sri Lanka)
Comme en Asie du Sud-Est, une longue période de croissance zéro parmi les naissances annuelles se produira à partir de 2030 grâce à la population en âge de procréer. D’ici 2040, la population en âge de procréer en Inde sera à son maximum et le ratio de femmes infertiles par rapport à celles en âge de procréer sera de 1,4 et sera prêt à augmenter au cours des deux décennies suivantes. Le moteur de la croissance démographique de la région la plus peuplée du monde est déjà au point mort et a commencé à s’inverser, même s’il faudra des décennies avant que cela ne se manifeste dans les chiffres globaux de la population.Mais l’Afrique continuera à peupler la Terre !
Enfin, les graphiques ci-dessous montrent l’évolution des naissances d’une année sur l’autre dans le monde (à l’exclusion de l’Afrique) par rapport à l’évolution d’une année sur l’autre en Afrique, de 1950 à 2040. Notez les grandes rotations des naissances dans le monde (ligne noire) par rapport à l’augmentation régulière d’une année sur l’autre en Afrique (ligne bleue)… sauf une décélération vers 2018 ?!? Toute la croissance des naissances devrait avoir lieu en Afrique, compensant ainsi le déclin des naissances dans le reste du monde.Si l’on regarde de plus près la période 2000-2040, on constate que la croissance des naissances en Afrique s’est fortement ralentie entre 2008 et 2018 (toujours en hausse, mais beaucoup plus lentement). Il est également important de noter que ce rapport des Nations unies a été publié début 2019, et que les dernières données concrètes datent de 2018… La plupart des données du rapport de 2019 et des années suivantes sont des projections. Il faut donc noter que les données de 2008 à 2018 suggèrent que les mêmes problèmes qui affectent le ralentissement des naissances dans le monde ont probablement aussi un impact sur l’Afrique. Bien sûr, avec une population en âge de procréer en augmentation rapide en Afrique, les démographes des Nations unies prévoient immédiatement que les naissances en Afrique reviendront à un niveau élevé d’année en année à partir de 2019… plutôt que de suggérer que le même phénomène qui a bouleversé les naissances mondiales continuera à se produire en Afrique. C’est certainement quelque chose à surveiller car, encore une fois, la seule chose qui empêche les naissances mondiales de vraiment s’effondrer est l’Afrique, mais j’ai le drôle de sentiment que cette contagion de dépeuplement est probablement en train de se propager à travers l’Afrique maintenant.
Quel est l’intérêt de cette analyse ? L’économie mondiale est fondée sur une croissance perpétuelle de la demande, de l’offre, de la monnaie, du prix des actifs, etc. Mais le principal moteur de cette croissance (du moins au cours des derniers siècles) est l’augmentation de la population. Plus de gens ont besoin de plus de tout. Cela signifie plus d’usines, plus de réseaux d’approvisionnement, plus d’infrastructures, plus de maisons, plus de voitures, plus d’emplois, etc. Y compris plus de prêts et de dettes contractées, en particulier parmi les populations les plus jeunes permettant l’achat de véhicules, de maisons, etc. dans le présent pour être remboursés « plus tard ». Mais lorsque la population des jeunes adultes dans son ensemble, qui assume la plus grande partie de l’endettement, cesse de croître et que toute la croissance se déplace vers les personnes âgées, qui s’endettent relativement peu ou qui, dans les années de vieillesse, passent à un désendettement total… la masse monétaire cesse de croître de façon organique et commence à se contracter de façon antithétique dans un système en perpétuelle croissance.
Il a fallu beaucoup de temps depuis la Seconde Guerre mondiale pour en arriver là ; des décennies de hausses de taux pendant l’accélération de la demande (resserrant l’offre de monnaie et provoquant l’inflation), puis des décennies de réductions de taux pendant la décélération de la demande (augmentant l’offre de monnaie et provoquant la déflation mais simultanément l’inflation des actifs), l’endettement qui en résulte par le biais des particuliers, des entreprises et des gouvernements fédéraux, le tout entremêlé avec le ralentissement de la croissance démographique. Depuis 2009, la Fed s’est engagée à acheter des obligations afin d’éviter une fixation des prix sur le marché libre pour ces obligations et d’éviter de voir les rendements de la dette américaine s’envoler et consommer une grande partie/la plus grande partie des impôts fédéraux perçus. La Fed s’est également engagée à ne pas autoriser la libre fixation des prix des actifs sur la base d’une décélération de la croissance démographique des jeunes et d’un important désendettement des personnes âgées. Je pense qu’il est également très probable que la Fed (et/ou les agents à sa tête) manipule également les métaux précieux et/ou les cryptos afin de dissimuler la gravité de la situation.
Toute cette création d’argent inorganique qui a lieu actuellement avec la Fed (et les banques centrales du monde entier) vise à masquer la faiblesse fondamentale de l’accélération qu’une faible croissance démographique peut soutenir organiquement. Le gouvernement fédéral et la Réserve fédérale sont maintenant allés si loin que toute décélération de la croissance inorganique (sans parler des baisses de bilan, des hausses de taux, de la diminution des réserves excédentaires, des hausses d’impôts, de la réduction des déficits fédéraux) a le potentiel de faire entrer l’économie non pas dans une récession mais dans une dépression comme le monde n’en a jamais connu. Les principaux ingrédients pour se sortir des précédentes récessions/dépressions n’existent plus. La demande mondiale commencera à décliner indéfiniment à mesure que cette situation démographique se concrétisera et des taux de retour à zéro ne feront pas bouger l’aiguille (à part une plus grande inflation des actifs). La population des personnes âgées, qui augmente rapidement, continuera à consommer moins qu’elle ne le faisait dans la fleur de l’âge et à se désendetter davantage… bien au-delà de la capacité des jeunes adultes à compenser les impacts financiers, économiques et monétaires. Il est probable qu’une ou plusieurs générations seront nécessaires avant que la dynamique démographique et de dépopulation ne puisse être inversée, avant que la dette ne soit entièrement effacée, avant que la surcapacité ne soit éliminée et que l’ordre ne soit rétabli.
Et je suppose que la question à 1000 milliards de dollars devrait être de savoir comment nous en sommes arrivés là ? Les girations de la population et les décélérations qui en ont découlé (et l’effondrement imminent de la population dans de nombreux pays et régions) étaient-elles simplement le résultat de la généralisation des soins à la naissance, de l’urbanisation, du taux d’emploi des femmes, etc. etc. qui se sont produits d’eux-mêmes… ou si, au contraire, c’est à dessein car les banques centrales avaient un mandat prépondérant depuis les années 1970 (un peu comme la Chine… mais par un moyen différent), ce qui ne devient clair que maintenant ! L’humanité se dépassait-elle simplement ou cet effondrement imminent était-il conçu et organisé de manière centralisée ?
Chris Hamilton
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire