lundi 29 mars 2021

Comment le combat pour la liberté américaine va probablement s’intensifier

Article original de Brandon Smith, publié le 04 mars 2021 sur le site alt-market
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr

Il y a trois mois, en décembre, j’ai publié un article intitulé « Le reset des globalistes est-il un échec ? Les élites ont peut-être surjoué leur main« . Je me suis intéressé plus particulièrement à l’évolution de la « crise » pandémique, aux mandats de confinement des gouvernements du monde entier, à l’étrange campagne de vaccination pour le nouveau cocktail d’ARNm insuffisamment testé qui a été diffusée au public en l’espace de six mois, aux déclarations ouvertes du Forum économique mondial qui espérait exploiter la pandémie comme tremplin pour son programme globaliste, et à la réaction du public à tout cela.

Je dois dire que je continue de constater une divergence entre ce que les élites voulaient clairement qu’il se passe et ce qui s’est réellement passé. Si l’on en croit le jeu de guerre de la pandémie « Event 201«  sur une épidémie de coronavirus, qui s’est tenu deux mois avant que l’épidémie réelle ne se produise en Chine, les globalistes ont alors largement surestimé l’effet de peur de la Covid-19.

Ils ont prédit au moins 65 millions de décès dus à une épidémie de coronavirus, mais plus d’un an s’est écoulé depuis que la pandémie a pris une dimension internationale et le nombre officiel de décès s’élève à 2,5 millions, plus de 40 % des décès aux États-Unis étant attribués à des patients de maisons de retraite qui étaient DÉJÀ en train de mourir à cause de conditions préexistantes. Si l’on exclut de l’équation les décès suspects dans les maisons de retraite, le nombre de décès est probablement plus proche de 1,5 million, là encore, si l’on s’en tient aux estimations officielles.

Pour mettre ce chiffre en perspective, le CDC indique que le nombre de décès dus au virus de la grippe dans le monde culmine à environ 649 000 selon les années. Les décès dus à la grippe et à la pneumonie atteignent jusqu’à 1,4 million par an dans le monde. Des études financées par la fondation Bill et Melinda Gates ont permis de trouver des statistiques annuelles de décès par pneumonie comparables à celles du CDC. Pourtant, nous n’avons jamais vu Bill Gates réclamer un confinement économique, des obligations de port de masques et des passeports médicaux à cause de la grippe ou de la pneumonie. Pourquoi cela ?

Aujourd’hui, le taux de mortalité des gens atteints de la Covid-19 est de 0,26 %, soit un taux inférieur aux prévisions initiales des institutions et des gouvernements globalistes. Il est maintenant largement prouvé que les mesures de confinement n’ont RIEN fait pour ralentir la propagation du virus, et maintenant de nombreuses régions des États-Unis commencent à connaître ce que les « professionnels » des blouses de laboratoire appellent affectueusement « l’immunité collective ». Les infections et les décès sont en chute libre, et les mesures de confinement et de masquage n’ont servi à rien.

Comme la grande majorité des maladies virales, les humains tombent simplement malades, endurent, développent une immunité puis se portent bien. Certains d’entre nous meurent, comme toujours, et l’intervention du gouvernement n’est ni nécessaire ni bienvenue. C’est pourquoi une grande partie de la population américaine et européenne refuse d’accepter les mesures de confinement et les vaccins. Pourquoi détruire l’économie et se soumettre à un cocktail génétique potentiellement dangereux pour une maladie dont 99,7 % de la population est sûre de survivre ?

Cette fois, les élites de l’establishment ont vraiment tout gâché.

Mon soupçon, ma « théorie de la conspiration » si vous voulez, est que les globalistes ont annoncé leur programme de « Grand Reset » en partant de l’hypothèse que le taux de mortalité pour les gens atteints  de la Covid-19 serait BEAUCOUP plus élevé qu’il ne l’est. Ils s’attendaient à quelque chose de biblique, et au lieu de cela, ils ont obtenu quelque chose de pas beaucoup plus dangereux que la grippe et la pneumonie.

Il y a maintenant une résistance massive du public aux vaccinations et aux passeports médicaux. C’est probablement pour cette raison qu’ils se sont empressés de lancer les vaccins en l’espace de six mois au lieu d’un an à 18 mois comme ils l’avaient laissé entendre au début de l’année 2020. Ils essaient de faire en sorte que le plus grand nombre possible de personnes prennent les vaccins expérimentaux avant que les citoyens ne réalisent que le vaccin n’est rien d’autre que du vent.

Je peux dire que dans ma région, la majorité des gens n’ont jamais porté les masques et la majorité des entreprises locales n’ont jamais essayé de faire appliquer les gestes barrières. Et bien qu’elles aient d’abord accepté le premier confinement économique, elles ne se conformeront pas à un autre. Dans mon État du Montana, on compte 1 300 décès attribués à la Covid-19. Dans mon comté, le taux d’infection est estimé à plus de 25% (ce qui signifie que presque tout le monde a probablement déjà été infecté), et il n’y a que 13 décès au total.

Personne n’a peur de cette chose. Presque aucun conservateur ne va porter de masque, et beaucoup de gens dans les États rouges (et certains dans les États bleus) vont refuser de se faire vacciner ou d’accepter des passeports médicaux.

Cela signifie que les globalistes ont un gros problème. Ils ont évidemment beaucoup investi dans cette pandémie. C’est la clé de tout leur programme de « Grand Reset ». Sans une effrayante pandémie qui tue des dizaines de millions de personnes, les globalistes ne pourront pas enfermer le public et l’empêcher de voyager ou de s’organiser. Ils ne pourront pas mettre en place les passeports médicaux et les applications de recherche de contacts qui leur permettraient de surveiller le public 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ils ne parviendront certainement pas à faire accepter à la plupart des Américains la société sans cash et la gouvernance globale centralisée dont les élites sont si obsédées.

La peur du coronavirus s’estompe. Les globalistes ont en effet échoué de manière épique. Mais cela ne signifie pas qu’ils vont abandonner. Si mon expérience de l’étude des psychopathes me dit quelque chose, c’est que lorsque ces fous sont acculés, ils ont tendance à doubler et tripler le mise.

La question est de savoir ce qui va se passer ensuite. L’establishment aura besoin d’un maximum d’instabilité et de chaos à court terme s’il espère sauver son projet de « Grand Reset ». S’ils attendent trop longtemps, la prise de conscience se répandra et ils n’auront peut-être pas d’autre chance avant plusieurs décennies, voire jamais. Voici les événements que j’attends au cours de l’année prochaine…

Mutation du virus de la Covid-19

Les globalistes sont condamnés s’ils ne parviennent pas à maintenir la panique de la pandémie. Pour l’instant, des marionnettes comme Biden et Fauci vont faire comme si une réouverture complète de l’économie allait se produire. C’est un mensonge. Nous voyons déjà Biden hésiter sur la date de la réouverture. Il a indiqué qu’il faudra au moins un an avant que les confinements ne cessent complètement, et cela suppose que la majorité des Américains se soumettent aux vaccinations et aux passeports médicaux.

En d’autres termes, l’establishment nous dit qu’il a l’intention de tenir l’économie en otage jusqu’à ce que nous prenions le coup et renoncions à nos libertés.

Ces totalitaristes consanguins sont-ils tout simplement fous ? Eh bien, probablement, mais cela ne veut pas dire qu’ils n’ont pas de plan B. Il suffit de voir tout le battage médiatique autour des « mutations du virus de la Covid-19 » dans des endroits comme l’Afrique du Sud et le Brésil ; le récit sera qu’une « nouvelle variante de coronavirus » plus dangereuse et plus mortelle que le premier virus se propage, et que le confinement doit revenir pour le plus grand bien du public.

Comme l’indique un article récent du New Scientist :

Les vaccins existants devraient empêcher les gens de tomber gravement malades et de mourir s’ils sont infectés par la variante P.1. Cependant, comme de nombreuses personnes ne sont toujours pas vaccinées, il faudrait repenser les plans visant à assouplir les restrictions de confinements si cette variante provoque une résurgence du nombre de cas. De plus, toute variante qui circule largement aura plus de chances d’évoluer vers une forme plus dangereuse.

Le New Scientist ne semble pas comprendre la science fondamentale. L’écrasante majorité des virus qui circulent dans le monde évoluent généralement vers des formes moins mortelles de leur itération d’origine. Les virus doivent aussi survivre, et ils ne le font pas en se transformant en des monstruosités de plus en plus mortelles qui tuent leurs hôtes préférés. Rien ne prouve encore que les nouvelles mutations de virus de la Covid-19 constituent une menace quelconque, mais l’establishment met déjà en scène le récit de l’arrivée de nouveaux confinements.

Confinements fédéraux

Si le récit de la mutation se poursuit sur la voie qu’il semble suivre, je m’attends à ce que l’administration Biden tente un confinement national fédéralisé similaire aux confinements de niveau 4 utilisés en Europe et en Australie, et il sera annoncé dans le courant de l’année.

Ce programme déclenchera plusieurs réactions ; la plus importante est que la plupart des États et des comtés conservateurs refuseront de suivre les mandats fédéraux. Je sais que mon comté et probablement la plus grande partie du Montana défiera tout nouvel arrêt de l’économie.

Ce conflit aura plusieurs conséquences économiques, certaines positives et d’autres négatives.

Guerre économique intérieure

Cette phase de la crise se produira dans un délai d’un à deux mois après tout arrêt national. Les États rouges refuseront de s’y conformer. Les politiciens des États, même s’ils font partie de l’agenda, auront trop peur pour essayer de faire respecter les mandats fédéraux. Ils seront contraints par les citoyens conservateurs de garder leur État ouvert. La plupart des gens dans ces régions ignoreront les mandats.

Cela entraînera un boom financier dans les États rouges, du moins au début, car les affaires continuent de prospérer dans les zones conservatrices tandis que les États bleus souffrent de la tyrannie médicale. Les entreprises fuiront les États Démocrates par milliers et iront s’installer dans tous les États qui restent ouverts et accommodants. Mais ce sera de courte durée.

Biden et le gouvernement fédéral tenteront de riposter, d’abord en coupant les fonds fédéraux à tout État qui ne s’incline pas devant leur pouvoir et en refusant de donner un coup de pouce aux entreprises qui délocalisent. Les États bleus recevront des fonds de relance alors que les États rouges seront contraints de réduire ou d’éliminer les programmes sociaux et certains fonds de pension.

Bien entendu, le gouvernement n’a pas de véritable argent à donner, il n’a que l’argent de nos impôts et la planche à billet que la banque centrale utilise massivement. La réponse probable sera que les États et les citoyens conservateurs cesseront tout simplement de payer des impôts fédéraux. Une autre réaction sera que les États rouges s’emparent des terres fédérales et utilisent les ressources de ces terres pour rajeunir leur industrie et compenser les dollars fédéraux perdus.

Cela équivaut à une sécession en douceur des régions conservatrices, qui finira par conduire à des tentatives fédérales d’intervention physique (la guerre économique se transformera en une guerre pour de vrai). L’argument de l’establishment sera que les conservateurs mettent le reste du pays « en danger », que nous sommes « égoïstes » et que nous « tuons littéralement grand-mère ».

Effacement total des conservateurs sur Internet

J’attends de Biden et de Big Tech qu’ils poursuivent leur chasse aux sorcières actuelle contre les voix conservatrices, bien au-delà de ce que nous avons déjà vu. Pour gagner un combat contre les conservateurs, ils devront d’abord nous faire taire afin que notre version des faits ne soit jamais vue ou prise en compte par le reste de la population. S’ils nous permettent d’être entendus, nous gagnerons sans aucun doute parce que les faits et la raison morale sont de notre côté.

Il est difficile de diaboliser des gens qui veulent simplement être libres.

Mais, si vous pouvez faire taire les conservateurs et les modérés, alors le récit peut être truqué. Les doreurs d’image de l’establishment peuvent dire aux gens que nous ne voulons pas vraiment la liberté ; nous voulons autre chose, quelque chose de mal et de vilain. Ils peuvent dire aux gens que nous sommes « fascistes », que nous sommes « racistes » et que nous voulons en fait la tyrannie. Qui va dire au public le contraire alors que nous sommes retirés de toutes les plateformes disponibles et que nos sites web sont exclus des fournisseurs de services en raison d’« idées dangereuses » ?

La folie du contrôle des armes

Je sais que certains pensent que les gauchistes de Biden n’essaieront pas de mener une vaste campagne de répression par les armes à feu et que la plupart des discours actuels ne sont que de la rhétorique creuse. Je ne suis pas d’accord. Je pense que les globalistes sont dans une impasse et qu’ils doivent récupérer rapidement des Américains le plus grand nombre possible d’armes à feu capables de combattre. Les Démocrates feront pression pour obtenir une législation comme la HR 127.

Ils proposeront ensuite un « compromis » avec les Républicains et la NRA, en supprimant certaines parties du projet de loi. Ce sera une astuce pour faire croire au public que les nouvelles restrictions sont un « compromis raisonnable ». Ils pensent que nous allons pousser un soupir de soulagement et dire : « Eh bien, au moins ils n’ont pas tout pris… »

Les voleurs d’armes sont délirants.

Ce qui va vraiment se passer, c’est que des millions de propriétaires d’armes à feu vont adopter des lois locales et d’État annulant les restrictions fédérales. Aucun conservateur ne va renoncer à ses droits sur les armes à feu, ni permettre l’application de lois Red Flags ou la limitation des armes à feu de grande capacité ; pas à ce stade du jeu.

Intervention internationale

Les gauchistes et l’establishment finiront par se rendre compte que les conservateurs seront plus difficiles à soumettre qu’ils ne le pensaient. Ils découvriront qu’une grande partie de l’armée et des forces de l’ordre américaines est de notre côté. Ils commenceront à voir des mutineries parmi les gens sur lesquels ils comptent comme chair à canon pour exécuter leurs diktats.

Même aujourd’hui, il y a des services de shérifs dans tout le pays qui refusent d’appliquer les ordres de confinement. Et, selon les États, 30 à 50 % des professionnels de la santé disent qu’ils ne prendront pas le vaccin contre la Covid-19. Lorsque la rébellion sera en marche, les globalistes devront alors envisager des options extrêmes. Ils ne pourront pas gagner en utilisant les forces nationales. Ils chercheront plutôt à obtenir une réponse internationale, probablement par l’intermédiaire des Nations unies.

Le raisonnement sera que les États-Unis disposent d’un énorme arsenal nucléaire et que la communauté internationale ne peut pas permettre que ces armes tombent entre les mains des « suprémacistes blancs ». C’est à ce moment-là que le vrai combat commencera. Si l’intervention internationale échoue aux États-Unis, les globalistes se retrouveront la tête sur le billot. Si les globalistes gagnent le combat aux États-Unis, il ne restera que très peu de gens pour leur résister dans les années à venir.

De nombreux lecteurs du monde entier m’ont écrit pour me dire qu’ils croient que, face au confinement de la pandémie, c’est maintenant aux Américains de renverser la vapeur. Je suis d’accord avec eux. Une rébellion réussie contre le globalisme en Amérique entraînera des rébellions ailleurs, mais il n’en reste pas moins que si nous perdons, personne d’autre n’osera lever le petit doigt. L’avenir est entre nos mains.

Brandon Smith

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